Snack, collation, en cas. C'est le mot du jour de ce 11 octobre dans l’IWAK du WWW.
Bof, j'évite de snacker entre les repas. Ou alors un fruit, ce fameux kiwi dont je fais une consommation journalière avant l’hiver.
Un peu plus bas dans ce village, il y a une maison avec une clôture couverte de kiwiller 🥝. Je pense que c'est comme ça qu'on dit, j’ai la flemme de googler.
Tout les ans, le monsieur, ou la dame, je l’ai jamais calculé, mets une caisse de kiwi de sa récolte dans la rue , avec une pancarte ‘à disposition '
Je trouve ça sympa. Étonnant par les temps qui courent. Mais revenons au mot du jour, collation. Si ce n'est pas mon truc, la cuisine le
devient elle. J’ai un compte marmiton ou je stocke mes recettes. On m’aurait dit ça il y a dix ans j’aurai hurler au loup. Mais y a que Barnier ou Macron qui changent pas.
J’ai eu les félicitations du voisin a qui j'ai filé un pot de ma confiture de mûres de la wild coast pour ses en cas.
Et celle du bosco, ex maître de la cuisine, et qui m’a félicité pour mon colombo de thon.
Elle n’a jamais faim, et snack du bout des lèvres. Mais la, elle a fini le plat, c'est un signe non ?
Bon à demain, en remote 😉
J'en ai vu une pleine brouette des actinidiers (j'fais le malin, mais jusqu'à il y a quelques minutes j'appelai ça un kiwitier comme tout le monde...) . Là-bas, à Laurac-en Vivarais, où j'ai traîné mes grolles pendant un bon mois, y'en avait toute une immense plantation au milieu de nulle part. J'suis resté un moment scotché à regarder ça.
RépondreSupprimerSinon, j'aime beaucoup ton p'tit couteau.
Enfin un lecteur avisé ! Mais c’est un mot quand même bien plus compliqué que kiwitier non ?
SupprimerJe suis passé ce matin devant l’actinidier du coin de la rue et je me suis promis de le prendre en photo pour montrer le rendement en fruit de cette clôture étonnante.
Concernant mon canif, c'est un Thiers. J’ai acheté le premier il y a quelques années où je visitais cette ville. Il y avait beaucoup de coutelleries et en poussant la porte d’une d’elles je suis ressorti avec cette lame à ouverture d’une main. Un modèle hérité des bergers italiens. Depuis c'est devenu ma lame de tous les jours. L'acier est coupant. Et le liner lock qui bloque la lame est assez pratique.
Mais je vais faire une note un jour sur ma boîte à canif !
Avisé rien du tout ! Heureusement que dame Ternette existe pour les cancres comme moi !
RépondreSupprimerJe lirai avec beaucoup d'intérêt ton billet sur les couteaux. J'en suis moi-même un amateur (tout petit amateur).
Moi non plus je suis pas un as des couteaux. J’en ai toujours eu un au fond de la poche, du plus loin que je me souvienne. Maintenant c’est maladif. Je ne peux plus me lever sans. Mais de l’opinel de colo , en passant par la vendetta donnée par ce vieux monsieur d’Ange ou ceux amassé au cours des années, le 🦋 qui tournait avec ma bleu, ou mon Lancelot perdu dans les landes des dolmen, il y a de quoi faire une jolie note. Mais bon après Octobre la c'est le IWAK du NAWAK
Supprimer