C'est un marronnier ici.
En fin d'année, je vous reprend dix photos que j'ai prises dans l'année.Je prend plus beaucoup de photos, mais bon, j'en ai trouvée dix .
J'avais une note sur les cent jours de ma retraite, mais c'est pas l'époque. J'y marmonnais que les vioques, mes désormais collègues, vendredi aprèm investissent en une nuée de tamalous le Leclerc.
Un vrai rallye de chariots, avec que des gus qui ont eu leurs permis avant que la ceinture existe.
Tout ça vote largement à droite, mais roule à gauche. Un beau bordel.
Je vous parle pas du dos argenté, avec son sac de victuailles, qui ère l’oeil un peu perdu, dans le fond du parking à la recherche de son Scenic.
Me sentant Radoteur, je laisse donc tomber le troisième âge.
Voici donc un bateau, pour vous souhaiter de bonnes fêtes. je suis pas certain de revenir avant 2024.
Je suis en cavale de mémoire. J'ai plus trop d'idée de notes, le bordel ambiant ne m'inspirant pas.
Donc c'est photos.
voici la seconde la tempête de novembre.
Ce n'est pas la tempête ciaran, je crois que j'avais, en vain, tenter d'ouvrir la porte de la voiture au même endroit.
la suivante ou la troisième.
j'aime cette photo, parce que je kiffe la mer. Et les éléments déchaînés. sûrement pour ça que je me suis toujours acoquiné avec des potes plus barrés, ou presque, que moi. En tous cas on voit plus le lavoir, il est mangé par l'écume de mes jours...
Ces moutons , dans les alignements de Carnac, c'était en mars ou avril.
Je roulais en revenant de je ne sais ou et je me suis arrêté pile à l'arrache sur le bas côté pour prendre la photo.
Je dis je ne sais ou, parce que j'oublie de plus en plus de choses. Récentes ou anciennes.
Un mouton blanc et un noir.
La fameuse dualité.
Dans mon cas le bien et le mal ce n'est plus vraiment un problème, vu que ma carte SD est volatile.
Pas de remord. A savoir si j'en ai jamais eu. Ça aussi j'ai oublié.
Mais j'ai peu d'ennemis, où ils sont tous déjà décorés croix de bois .😉
Jamais beaucoup de selfie de ma pomme sur ce bieux blog. mais la, il y a deconne , et j'adore faire le con.
j'ai tout mes permis, depuis la soixante dix huit douze. et donc en bon corp franc, l'idée d'emprunter une moissonneuse batteuse pour le fun, m'a traversé l'esprit en ce joli mois de juin devant cette bécane garée la. Comme quoi à deux ans de septante le flibustier à quelques restes 😉
Cette photo toute simple du coeur de Tokyo.
les plantes sont sorties dehors, sur le trottoir. les réverbères sont souvent fleuris.
Un autre monde non ?
On peut même dire une autre planète. un société ou le vulgus pecus valorise son quotidien et son héritage.
je me souviens de ces minuscules écoliers, en uniforme tous différents selon l'école, qui partent pour la journée, à pieds, avec leur rikiki sac à dos, goûter accroché par dessus les porte clefs de héros manga qui brinqueballes, et petit balai en fibre de cocotiers sous le bras. Pas pris de photos car les enfants ne doivent pas circuler dans le cloaque de l'IA d'internet. mais ils etaient déjà fiers et responsables à a peine cinq ans.
une claque qui résonne encore...
bon je leur souhaite beaucoup de bonheurs à ces deux la.
ah ! les transports en commun japonais ! ils méritent bien une photo ici. le métro , ici .
rapide ponctuel mais j'ai dejà raconté tout ça. je persiste. un exemple à copier, et vite !
joli souvenir, jolie ville, toute sa place ici.
Mon passage à rebours par ici m'aura permis d'enfin voir ta bouille !
RépondreSupprimerAh ! Ah ! Les années ont passées, mes ennemis doivent tous être cannés. Donc je n'hésite plus a m'afficher. Mais honnêtement , la on voit plus mon bidou que ma bobine. Le petit bonhomme est bien silencieux dans mon reader , moi j'ai décidé de blogger un peu plus et ralentir les réseaux depuis mon abandon de X. Amicalement. Pl
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