Tellement prenante et rapide, que j'allais en oublier de souhaiter à ce vieux petit blog son anniversaire.
Bon comme moi, il yoyote un peu et est devenu bien taiseux ce cher brouillon du fil de mes jours.
Mais même si la note 'pula' est déjà prête depuis quelques années, je repousse chaque fois sa sortie antidatée.
A mon désormais grand âge, mon daron et même mes grand-pères étaient décorés croix de bois depuis des dizaines de lunes.
Les hommes brûlent vite dans la lignée.
Mais malgré une existence plutôt rock'n Roll en premier et second acte, je suis toujours dans le game au troisième et en suis toujours assez étonné.
Bon je me mèle plus.
Où du bout des doigts quand cela me semble si gros.
Mais j'ai bien compris qu'il me fallait prendre retraite, et que, chaque âge ayant ses plaisirs, je dois me concentrer sur ma respiration et son étonnante influence sur les couchers de soleil.
Il n'empêche ce petit blog ,dont c'est le grand anniversaire ce jour, va continuer, si le COVID le permet, son petit bonhomme de chemin.
Bon j'avais prévu une note bien triste. Mais on est dans un période où le triste domine. Zemmour, le pourvoir d'achat, la COVID.
Tiens justement cette saloperie, parmi d'autres.
Ne voilà pas que je suis cas contact.
Ma moitié c'est fait plomber dans son Open Space ou en faisant les magasins.
Il faut s'en assurer par un test.
Déjà commence la course à l'autotest. Je prend mon spad a 12:00 et part faire le tour des pharmacies.
Heureusement que j'ai pris mon destrier. Je gratte les statiques bloqués seuls dans leurs poubelles en feraille, parce qu'à midi naviguer dans #aulnay en woiture m'aurait rendu fou.
Bon à la quatrième caducée je pécho le dernier test.
Gloire.
Le test de Madame est positif. C'est léger mais positif. Elle file chez le pharmacien confirmer. L'homme a un mouvement de recul à la présentation du test, mais confirme.
Positif. Pas de test valable en pharmacie, il faut allez au laboratoire.
On prend donc rendez vous sur le Graal de doctolib.
Deux pour le lendemain 09:20.
Bien qu'enfermé dans ma dunette seize heures par jour, ne voilà pas que je suis cas contact.
Le lendemain place du général de Gaulle.
S'il voyait ce chantier en ce moment l'homme qui a imposé la piquouze polio.
Mais je déraille encore.
Bref je connais le labo à l'angle du marché. C'est pas celui que j'utilise régulièrement mais bon.
Comme une fleur nous voilà le lendemain a neuf heures dix au comptoir.
Non monsieur, c'est a Coté du parking , en face la pharmacie.
Je suis passé devant et j'ai capté la queue devant ce cube rose.
Je me suis dit, c'est l'inconvénient des tests sans rendez-vous.
Niglo.
Nous voilà devant le pink container
Celui précédemment à cette place ,pour vendre des logements chicos place Abrioux, était deux fois plus grand.
Mais c'est pas la même cause.
Bon je n'ai pas le code donné par doctolib. Ni mon téléphone qui sert pour la double authentification de cette société privée. Ça démarre mal.
Je dois scanner un QR code sur le téléphone bis et remplir un formulaire.
Puis me mettre dans la queue sous le garage à vélo et remplir un formulaire d'étiquettes.
Je me retourne vers le dispatcheur.
Mais j'ai rendez vous ?
Eux aussi.
…
Une heure dans le froid, ma positive renifle.
Tout arrive. On passe . Je dois scanner de nouveau le QR code. un pour deux, ça le fait pas.
Les deux infirmières sont professionnelles, méthodiques et attentionnées.
Et le réceptionniste des clients dehors qui se démène comme un diable en boite pour calmer et satisfaire tout le monde.
Même un mec qui cherchait son bus.
Mais le cube rose est le grand reflet du nawak de ce dawaland qu'est devenu aulnay-sous-bois et plus généralement la région Île de France.
Gérée par quelle incompétente déjà ?
Je ne peux m'empêcher en sortant d'accoster un élu dont je tairais le nom, qui le malin, faisait la queue dans celle plus rapide, des sans rendez-vous.
Jolie installation pour une ville de quatre vingt mille habitants , non ?
un sourire et je continue. Il ne m'a pas remis. Les pirates sont multi-forme. Mais la graine est passée.
Le soir je regarde Veran parler.
…
Je sais pas vous mais cette affaire de COVID est gérée comme si elle était ponctuelle. Que ça allait s'arrêter.
Nos politiques sont soit frileux, soit peu, voir pas du tout visionnaires. Et nous les brise menus avec leur présidentielles dont on se balance plus que de notre troisième dose.
Allez c'est trop long, le frigo est vide je vais faire un drive...
Huit heures c'est un peu tôt, mais il commence à faire jour et Buck dont le train arrière n'est pas au beau fixe doit sortir un peu.
Sur le trottoir d'en face un piéton, chose si rare que je tourne la tête.
Un papa avec une pitchoune en poussette et deux metres derrière son plus grand, cinq, six ans qui traîne les pieds dans les tas de feuilles de platanes.
J'avais oublié le bruit si spécial que cela produit. cela m'a propulsé directement soixante ans en arrière.
Je me suis arrêté, ce qui a plu au chien qui a pu enfin me rattraper et même arroser une boîte aux lettres au slogan nopub à priori inutile avec ce qui en dépassait.
Le petit bonhomme a continué ses pas chassés, sans tenir compte de l'arangue de son daron sur le probable retard si il continuait de traîner.
Il y a donc des moments immuables et intemporel.
Je me suis retourné pour le suivre des yeux un instant
J'ai souri. Et sourire un matin de Novembre c'est un must.
Puis j'ai repris mon périple vers ma tradition.
Ce satané clebard claudiquait moins, il m'a semblé...
Vous connaissez tous l'histoire du vilain petit canard. Bon je pense. Sérieusement à une version Psittacula.
Avec l'automne et l'arrivée des premiers frimas, mes cousines les perruches à colliers, nouveaux et bien acclimatés perroquets du neuf cube ont retrouvées le chemin de la case du pirate.
Finis la dépouille des jolis soleils plantés un peu plus haut dans la rue.
Avec l'automne la nourriture devient plus difficile à trouver. Il est loin le temps des razias sur les bigaros si noires du cerisier de mamy. Ou de ses pruniers sur ce qui reste des pavillons avec arbres des quartiers sud d'Aulnay.
Ici on dalle les jardins à tout va. Faut rentrer les diesels heu, électriques sans se gadouiller les pompes.
Des mirabelles qu'elles goûtaient avec délectation d'une patte. Trop verte hop je jette et en prend une plus mûre. Je comprend les papys maugréant contres ces gourmandes bestioles. Les confitures maison sont devenues difficile.
En tous cas elles s'entendent assez bien avec les mésanges et moineaux pour leur tour sur l'unique distributeur.
Mais revenons à notre enplumé jaune
Un joli morceau. Avec des couleurs d'automne à rendre jaloux un ginko bilaboa, pourtant le champion de l'apparat yellow en cette saison.
Les autres suivent. L'habit fait le moine chez nos soeurs les perruches.
Je me dépêche de la mettre en boîte pour cette note.
Au balbutiements de ce blog il y en avait une de temps en temps. Aujourd'hui on frise la vingtaine a la graille.
Si vous voulez mon avis le réchauffement climatique vire au jaune.
Les merles éradiqués par les pies, qui pullulent, on disparus. Mais elles, progressent,résistant au froid qui s'annonce tôt mais si léger depuis des décennies.
Quand j'ai rappliqué vers cette périodeau même endroit, il faisait moins quinze. Un abbé sauvait même les malheureux du froid. Autre temps non ?
Je suis un T-Rex.
En tous cas elle jacassent si fort que je me demande si je vais pas finir par pécho une nouvelle pétition des bien pensants culs bénis du périmètre, non plus pour la gente canine, mais pour la volatile. #RAB ils me les brise menues avec leurs feux d'artifices, leurs sirènes à l'aube et autres soirées serviettes.
Je me méfie quand même, les preuves seraient facile,avec l'invasion, AUSSI, des pylônes de caméra dans le périmètre , qui vont ENFIN trouver une utilité,me griller sur les flux aérien rapliquant à la gamelle.
Voilà moment animalier terminé.
La prochaine fois je vous cause de me poules. Qui malgré leur grand âge, que dis je, canonique, sont parties pour un centre de formation des écoles.
Ici la vie, c'est loin d'être un long fleuve tranquille.
L'avantage d'un vieux blog, même si les dernieres notes tournent autour du nombril d'un vieux gâteux et ont franchement pas d'intérêt, c'est que vous avez des stats.
Ne voilà pas qu'en jettant un œil distrait dessus je vois remonter une note sur un conseil de quartier d'il y a douze ans.
Pitin c'est loin.
Mais bizarrement toujours actuel. Un terrain cédé a un promoteur puis racheté par l'EPFIF et qui devait à l'origine contenir des petits logements pour nos jeunes et nos vieux ( que j'ai rejoins depuis, passons).
Hélas le manque de concertation dans l'approche du projet lors de la première réunion avait projeté celui ci et l'équipe municipale qui le portait aux oubliettes.
Reste juste une caution à verser à l'organisme acheteur du terrain pour non réalisation . Montant inconnu, mais on s'en fout on a un beau no man's land et no impôts n'augmentent pas.
Encore.
Quand même cela titille ma curiosité. Vu que nous avons un nouveau vice président de cet organisme régional pour le logement, qui n'est autre que notre premier édile.
...
Je passe donc devant le terrain un joli matin d'automne.
Toujours la jungle comme vous pouvez le constater sur la bannière. Les deux chênes survivants à l'entreprise de travaux qui avait squatté les lieux un an sont toujours là.
Pas de nouveau panneau de construction. l'ancien c'est envolé , comme les barrières au fur et à mesure des tempêtes du réchauffement.
Me voila rassuré. Pourtant des on-dit portés par les réseaux sociaux depuis l'espace Anatole Citroën, (j'aime mieux Anatole) une salle d'auto-satisfaction que peux d'aulnaysiens connaissent, un truc perché au diable Vauvert de Val francilia, (on dit plus PSA) sous les avions et sans navette pour s'y rendre.
Donc les rumeurs de couloirs parlent d'un EPHAD construit la. Histoire de sortir un projet. Étonnant que l'association de défense du terrain la célèbre QCBE , et donc du quartier. Mouarf. N'en n'ai rien dit.
Comme c'est mon chemin pour le pain. Qui augmente lui, je repasse quelques jours après.
Les chênes sont bien mis en valeurs.
Longtemps que ce terrain n'avait pas été nettoyé, non ?
Mais je deviens suspicieux tendance paranoïaque sénile.
Ils ont dû en parler au conseil de quartier, au lieu de causer robinets. J'ai pas eu le compte rendu. On peut pas s'inscrire par internet. Ou deux lignes dans le journal qu'on jette.
Bon je suis trop long.
C'est une note pour dans douze ans.
Vous viendrez m'en causer pour me donner des news des chênes. Je serai probablement du côté de leurs racines. Mais je resterai sûrement curieux. Mouarf.
Ne voilà pas qu'une éruption solaire classée X1 nous arrive dessus.
Elle devrait causer quelques pertubations.
Je pense qu'il n'y a pas que les outils de géolocalisation qui vont être perturbés.
Tous les aigris, ou même les perturbés de la comprenette et autre adeptes du complots vont surement s'agiter par quelques plis de fiels sur les réseaux, ou même les blogs putes à click, autrefois surnommés bouffe ta pub. Parlant de réseaux, J'ai un peu lâché twitter,qui a été balayé par les ondes y a un moment déjà. Un nid de gremlins bleu et rouge.
Je finirai par lâcher comme ma désinscription il y a quelques années de Facebook.
Après je pourrai résilier mon forfait internet portable et prendre un abonnement à 2 euros. Oup's . Pas de pub ici.
Sortir du maelstrom.
Prendre une chaise. Un parapluie.
Regarder la pluie sans fin de cet hiver qui s'annonce froid.
Une preuve ? En dehors des nombreuses peaux de mes oignons ?
Le fait que monsieur Poutine ait libéré les robinets de Gazprom ce jour pour alimenter l'Europe.
Mais je ne vais pas revenir dans mes vieux démons.
J'ai passé l'âge de ces conneries.
Quoique je regrette de ne pas avoir fait un neuf trois six zéro zéro, genre le molard du dieu Râ qu'on vient de se prendre, à ce nouveau chéri des médias ce monsieur Z.
Quand il descendait la rue blanche il y a quelques années, suivi par son garde du corps deux fois sa taille à ce fonb.
Si facile.
Il faut bien avoir des regrets. Quand on peux plus faire de conneries, c'est là où on se dit .
Surfant entre les camionnettes et autres ventouses de trottoir, j'écoute LE morceau de musique. Ah ! Une rue dégagée.
Y a un moment que j'ai pas trottiner avec les écouteurs. L'air est frais, on va pas tarder à descendre sous les dix.
La lumière de ce soir d'automne gratte ma rétine. Hop dans la boîte.
J'en ferai une note.
Une petite sans vraiment de sens, juste la lumière sur les arbres d'alignements.
J'aime mon neuf trois dans ces heures ou tout les chats sont gris. Les gens filent vers leurs occupations, ombres furtives sans regards. Pressés, soucieux, masqués.
Maintenant que je pourrai m'arracher, j'ai compris que je fais parti du biotiope. Même si de jour en jour le Lego du béton-pognon grignote mes souvenirs et remplit les rues de voitures qui ne savent plus où se garer.
Ailleurs c'est peut être plus joli, mais voila, ce n'est pas mon périmètre.
Joli petite note de rien.
Je vais allumer le 🔥.
Donner à manger à mon vieux buck, qui comme bibi prend cher.
Finir par m'offrir une mousse et reprendre mes cours de langue, nouvelle occupation sur le téléphone. Une nouvelle , pas l'anglais et l'allemand déjà pratiqué dans le préfabriqué gris et rouge disparu de Gérard Philippe. La, On reste sur nos acquis. Mouarf.
Je vous dit pas . J'attend de progresser .
Si ça marche j'en ferai deux en simultanée. J'ai de la batterie.
Dimanche Automne. Et ce n'est pas une légende. Première chaude du matin.
J'ai un peu de mal avec le début de saison cette année. Moi qui l'aimais tant cette putain de période pour les peintres.
Je regarde le dieu du feu lécher mon bois. Je n'ai pas encore rentré mes stères, et je me demande si j'aurai suffisamment la niaque cette année.
Peut être devrais je opter pour ce poêle à pellets tant dans l'air du temps.
Ce serait plus raisonnable . Mais je l'ai jamais été.
J'aime le bois. Fendre des bûches, même si c'est moins rapide qu'avant, est un vrai plaiz. Et puis j'ai tout le temps que je m'accorde, comme seul patron de mon horloge désormais.
Et les pellets ça fonctionnent pas sans électricité.
Avec tout ce qui nous tombe dessus ces deux dernières années, autant rester prudent.
Je brûle donc ce qu'il reste de l'armoire en merisier dix neuf ième. Ça chauffe bien aussi le 🍒
En parlant de raisonnable, encore hier, j'ai fait mon Kéké en poussant ma dernière au tromé de Pablo icasso.
Elle avait rendez vous chez le toubib , sur Paname, Aulnay sous, c'est mort pour les esculapes angels un saturday.
Désert malheureusement pas que médical.
Et évidemment le RERB était fermé pour cette INDIGNITÉ de #CDGEXPRESS.
Drôle, même si je ne la prend plus guère, je continue de VOMIR sur les politiques et autres responsables qui gèrent ou adoubent le Turfu de cette ligne.
Mes voisins en ont chiés ces derniers jours, pour qu'ils m'en parlent, c'est un signe.
Reprenons.
On était parti un peu juste et comme je sort peu en woiture, privilégiant le spad, j'ai oublié les encombrements.
Mais un peu plus haut que Delacroix, ze lycée à Drancy, on se serait cru à la sortie du protectorat St Joseph rue jacques Duclos à Aulnay. Pour ceussent qui savent pas :
Un ramassis de fainéants qui stagnent dans leur diesels pour porter leurs petits gros qui ne peuvent pas prendre leurs bmx en absence de pistes cyclables SÉCURISÉES.
La morale m'interdit de décrire ce qui c'est passé.
Mais chassez le flibustier, il revient au galop. Ma passagère n'est pas sorti de son silence quand la seize cent a vrombi du haut de ses vingt ans.
La ligne était pointillée. On est arrivé à l'heure au métro.
Mon hérisson ne vient plus manger ses croquettes. Est ce que les hérissons hibernent ?
En tous cas celui là a fait suffisamment de gras.
Tant qu'il évite les chauffards, qui bombardent plus que moi, dans toutes nos rues en sens unique, c'est le plus important. Mais je sais pas si il dort bien avec les demeurés qui tirent des feux d'artifices à trois plombes du mat.
Il y a longtemps que je n'avais pas gribouillé.
Allez je me calme.
Gaffe aux légendes urbaines d'automne comme la fête de l'arbre d'Aulnay Sous.
großer Witz
Le chêne Camus a été arraché par des malfaisants pendant le mois d'Aout.
En loucedé.
Un truc de quatre cents ans. Comment ils vous enfoncent.
Comme si vous aviez jamais entendu le terme 'rechauffement climatique' .
D'ailleurs je pense que l'hiver va être froid. Mais avec l'âge je deviens sûrement frileux.
Quoique mes oignons qui sèchent sur la terre du potager sont raccords avec moi.
Bon.J'étais entrain d'etendre mon linge au cœur de ce bizarre été indien.J'ai plus de lumière dehors. Faut que je répare.
Vingt six degrés à vingt et une heure en revenant sur Aulnay sous. Avec les néons des dépanneurs, et autres tikbou ouvertes tard, en rentrant par la route de Bondy j'ai eu la sensation de me retrouver sur la N2 au Carbet.
La douceur antillaise me manque.
Ou le chant des grenouilles le soir.
Moins que la Bretagne et le chant du vent au trou du souffleur.
Au final.
Mais je m'égare.
Revenons aux pinces à linges. Les enfants riaient dans des pavillons pas loin.
Un joli soir d'été. A profiter il n'y en pas eu tant cet été.
Je pose un jean. Pis un top. Un drap. J'ai plus de pinces. Je vois plus rien.
Et je me dis qu'il faut que je commande du bois. J'ai vu les étourneaux se regrouper et il est bien tôt.
Les 10 pour cent d'augmentation du gaz sur septembre me motive.
Ce midi plutôt que me taper les énièmes infos stériles,
j'ai mis le reportage sur les EAGLES recommandé dernièrement par Élodie.
Un peu long pour tenir sur l'heure du déjeuner. Mais tellement dans l'ambiance pour un été indien,le crépuscule des antipass.
Plus ça va, plus ces californiens surnagent sur tout ce qu'il me reste des seventies. Dépêchez vous il va pas rester longtempssur arte.
En tous cas sont au top avec cette température.
Bref.
Une note pour rien.
Mais c'est le propre de l'été des indiens, profiter des derniers beaux jours.
mais bon je suis un peu débordé. c’est ça les vioques.
sont plus burn out que la majorité.
Pourquoi ? une urgence sûrement. Quoiqu’en réalité il n’y à JAMAIS d’urgence.
A part peut être quand ma première, sacré speedée, c’est pointée avec plus d’un mois d’avance.
Bref deux fois cette semaine que je teste le fameux TRENTE sur Paname.
Trois en fait, j’ai fait les urgences Ophtalmo de Cochin ( Super par ailleurs) car mon nenoeil avait décidé de vivre sa propre vie et de me laisser en plan après toutes ces années de vie commune.
C'est une mode ces derniers temps.
Bon la seconde fois de mon voyage à la capitale, c’était en plein après midi pour récupérer mon commando qui revenait d’une de ses virées qui n’existent pas gare Montparnasse.
j’ai bloqué en seconde le régulateur à trente, déja. Sur le boulevard du même nom.
j’ai été etonné que le régulateur fonctionne a cette vitesse.
Ce n'est pas un truc que les pirates affrontent souvent le moins de cent.
#smiley
Mais là j'ai trouvé ça franchement agréable.
Circulation fluide pas de coup de frein. On arrive tranquillement au feux.
Je me suis dit.
Tu déconnes , t'est trop vieux. Conduire cool c'est bien connu c'est que les Gangsta ou les papys
Je remet le couvert vendredi soir. On va manger un ramen dans un de ces 'vrais' japonais de Paris. Vers Saint Germain .
Excellent d'ailleurs .mais une heure trente de queue.
Je pensais pas être aussi patient. Mais il faut faire plaisir à sa progéniture.
Bref je retraverse Paris avec mon Waze. Mais j'ai le même sentiment.
PUTAIN C'EST COOL !
Rien à faire.
Circulation fluide, encore un ou deux antipass qui tapent des bourres, et les taxmans mais dans l'ensemble tout le monde semblent apprécier.
Moi.
Je bignole les rues. Les bâtiments. Et les greluches, il fait 29.
Bien que je ne puisse plus leur faire grand mal à leurs petits coeurs, j'admire leur science du 'chasse le keum'.
Sinon le ramen était infernal.
Quand je pense que certains pense encore japonais=sushi.
Mais bon.
Le lendemain je me lève. Et je vois que cette élue de valerie Pécresse veut un référendum sur le périphérique.
Valérie.
Ferme ta boîte a camenbert.
T'a vu dans quel misère tu nous a laissé sur la gestion du RERB pendant tes premières cinq années à la région.
Mon bouchon tu est incompétente.
Ne la ramène pas.
Fais comme Valls, prend un poste de chroniqueur à la télé.