Bon.J'étais entrain d'etendre mon linge au cœur de ce bizarre été indien.J'ai plus de lumière dehors. Faut que je répare.
Vingt six degrés à vingt et une heure en revenant sur Aulnay sous. Avec les néons des dépanneurs, et autres tikbou ouvertes tard, en rentrant par la route de Bondy j'ai eu la sensation de me retrouver sur la N2 au Carbet.
La douceur antillaise me manque.
Ou le chant des grenouilles le soir.
Moins que la Bretagne et le chant du vent au trou du souffleur.
Au final.
Mais je m'égare.
Revenons aux pinces à linges. Les enfants riaient dans des pavillons pas loin.
Un joli soir d'été. A profiter il n'y en pas eu tant cet été.
Je pose un jean. Pis un top. Un drap. J'ai plus de pinces. Je vois plus rien.
Et je me dis qu'il faut que je commande du bois. J'ai vu les étourneaux se regrouper et il est bien tôt.
Les 10 pour cent d'augmentation du gaz sur septembre me motive.
Ce midi plutôt que me taper les énièmes infos stériles,
j'ai mis le reportage sur les EAGLES recommandé dernièrement par Élodie.
Un peu long pour tenir sur l'heure du déjeuner. Mais tellement dans l'ambiance pour un été indien,le crépuscule des antipass.
Plus ça va, plus ces californiens surnagent sur tout ce qu'il me reste des seventies. Dépêchez vous il va pas rester longtempssur arte.
En tous cas sont au top avec cette température.
Bref.
Une note pour rien.
Mais c'est le propre de l'été des indiens, profiter des derniers beaux jours.
L'été dit "des Indiens" correspond à un phénomène météorologique bien précis (que j'ai la flemme de détailler ici), qui ne se produit JAMAIS sous nos latitudes. En fait, il ne se produit jamais nulle part, sauf au Québec et dans le nord-est des États-Unis.
RépondreSupprimerCe que nous vivons actuellement, cela s'appelle tout simplement… l'été.
Certes cela s’appelle se faire pincer les doigts dans la porte.
SupprimerJe connais bien la date de la fin de l’été.
Au moins depuis la chanson de Jo dassin sur l’été des Mohicans, époque ou je en uniforme rouge et bob jaune, comme tout mes copains de colo, je me fritais à la collerette, magnifique jeu pour la jeunesse aujourd’hui aussi disparu que la tribu, citée plus haut.
Mais avouez que ce retour de chaleur début septembre peut décimer mes derniers neurones après les MAGNIFIQUES mois de Juillet et d'Août que nous avons vécus.
A moins que ce soit les planteurs vanilles, car avec cette température, il faut surtout bien s'hydrater..
En tous cas cet été a un point commun avec moi
il est gentiment retardé
Et merci pour le correctif. quoique je ne sois pas certain que ce réchauffement climatique, capable de détourner le gulf stream ne nous glisse pas une farce pour décaler nos saisons.
Ah, évidemment, si vous croyez au réchauffement climatique, tout devient possible…
Supprimer(Entre autres, pour qu'il y ait "été indien", il faut qu'il y ait déjà eu, avant, des gelées nocturnes : je sais bien que nous avons eu un été pourri, mais pas à ce point, tout de même !)
Bon je vois que vous tenez au dernier mot. je vous le laisse donc. quoique pour les gélées nocturnes. je ne suis pas certain, vers le 13 Aout dans la nuit il a fait particulièrement froid, ou alors je deviens frileux au 225 jour de l'année.
SupprimerMoi, j'y crois à l'été indien. D'ailleurs, Joe Dassin on parlait lorsque j'étais un peu plus jeune. Et contrairement à mes derniers commentaires sur ton blog, des tomates commence à rougir. Et en fin de compte, je préfère croire à l'été indien que toutes les conneries que l'on peut entendre sur certains blog qui disent que la vaccination de sert à rien.
RépondreSupprimerPour une fois je vais être honnête, j'étais tout de même un peu en avance sur ce fameux été de nous cousins Québécois. Mais j'ai gardé un grand coup d'amour pour ce joli pays et surtout, puisqu'on est parti pour être droit, d'une jeune fille des seventies aux cheveux d'un noir de jais. mais c'était il y a si longtemps...
Supprimerelle doit faire une bien jolie grand-mère au fond de ses forêts de bouleaux.
Sinon pour les antivax, ils nous les brisent menues depuis Copernic.
Pas d'hier donc, laisse pisser, dame nature va réguler.