Bon.J'étais entrain d'etendre mon linge au cœur de ce bizarre été indien.J'ai plus de lumière dehors. Faut que je répare.
Vingt six degrés à vingt et une heure en revenant sur Aulnay sous. Avec les néons des dépanneurs, et autres tikbou ouvertes tard, en rentrant par la route de Bondy j'ai eu la sensation de me retrouver sur la N2 au Carbet.
La douceur antillaise me manque.
Ou le chant des grenouilles le soir.
Moins que la Bretagne et le chant du vent au trou du souffleur.
Au final.
Mais je m'égare.
Revenons aux pinces à linges. Les enfants riaient dans des pavillons pas loin.
Un joli soir d'été. A profiter il n'y en pas eu tant cet été.
Je pose un jean. Pis un top. Un drap. J'ai plus de pinces. Je vois plus rien.
Et je me dis qu'il faut que je commande du bois. J'ai vu les étourneaux se regrouper et il est bien tôt.
Les 10 pour cent d'augmentation du gaz sur septembre me motive.
Ce midi plutôt que me taper les énièmes infos stériles,
j'ai mis le reportage sur les EAGLES recommandé dernièrement par Élodie.
Un peu long pour tenir sur l'heure du déjeuner. Mais tellement dans l'ambiance pour un été indien,le crépuscule des antipass.
Plus ça va, plus ces californiens surnagent sur tout ce qu'il me reste des seventies. Dépêchez vous il va pas rester longtempssur arte.
En tous cas sont au top avec cette température.
Bref.
Une note pour rien.
Mais c'est le propre de l'été des indiens, profiter des derniers beaux jours.