Et bien nous voilà en 2021.
J'ai un peu de mal pour les vœux ct’année,
C'est la troisième fois que je fais cette note.
Mais à chaque fois, elle est trop négative,trop copiée ou trop naze.
Bref c'est un carnet. Je veux dire un blog.
Pas une sous merde de communication.
Mes voisins blogueurs ont déclenchés un truc, une chaîne sur les dix infos positives de 2020.
J'essaye donc les vibes positives de l'an passé.
- Ne plus prendre le RERB source combien évidente de propagation du virus.
- Savourer après toutes ces années de luttes, l'inutilité du CDG-EXPRESS, dont les caténaires tout neufs sont une insulte aux voyageurs du train cité précédemment.
- Apprécier le revirement de nos élites locales pour causer environnement. le nouveau vecteur de communication dans le patelin. On dirait qu'on est en plein mea culpa. Ce virus a du bon ,au moins pour le greenwashing
Voilà je vais pas plus loin que trois.
Niveau santé ça dégringole doucement, et avec mes bronches trouées par une double pneumo dans les années quatre-vingt, je me tiens à carreaux avec la faucheuse saupoudrée de chlorokine qui rode
En fait pour bibi l'année 2020 ressemble à deux paragraphes près au carnet que j'ai écris en 76 .
Un truc futuriste avec des pluies acides, un virus et des jeunes gens affûtés mais désabusés.
Je sortais de Dune, que je considérais comme LE livre, et déjeunais avec Lone Sloane.
En clair l'époque était un tantinet veugra uto (qui) pique.
Je brûlais mes soirées avec mes potes allumés de Pont-yblon, en écoutant les Who, le live AT leeds , Bowie et Roxy music en sourdine jusqu’à l’aube.
Assis a même le sol dos au mur, avec comme vue le mur d’en face recouvert d’un arbre de vie tout rapé, en tissu mauve et vert, seul déco ramenée par un gus revenu d’Afganistan. c'était encore l'époque des deuches, pour ce pays.
Vers le lever du jour, je rentrai en bleue, qui était orange, par la d41 déserte et la rue Charles Floquet bordés d'usines qui , je me rappelle bien, se penchaient dangereusement vers moi.
J'y suis passé cette semaine, l’A1 était bouchée, hop sortie Blanc-Mesnil, La plupart des usines sont rasées et la gangrène pseudo haussmannienne gagne du terrain.
La classe à Dallas, mais reprenons.
Ensuite Back Downtown Aulnay sous, je me glissais dans ma cave, posais un Eno, Tangerin Dream ou un autre truc disparu et je griffonnais jusqu'au soir en grillant malbarrés sur malbarrés.
Ha... Cette période d’études sans vrai sommeil que de nostalgies.
J'ai brûlé le carnet dans la cheminée avec ses suivants en prenant la route cette année la.
Quand j'ai migré précipitamment dans le sud ouest.
A cause d'une vrille d’autres potes du nord,
De la cité Fantôme. Qui connais encore cette dénomination aujourd’hui sur ASB ?
Ceci étant comme pour tous les pisseurs de lignes, même en cendres, le livre est toujours là au fond de la mémoire.
C'est pour ça que j'ai tant de mal pour mes vœux 2021.
Parce que j'avais écris une suite qui filait vers le froid.
Et je vous la souhaite pas.
Bises
Bonne Année
Tu me fais peur, ne regardes pas trop dans le rétroviseur, à chaque fois que tu fais cela, tu risques de louper le virage. Sur que couvre-feu, confinement, pas de restos, masques sur la gueuele, ça n'aide pas... Je te parle pas des merdes que j'ai aussi mais, tous les matins les ziozios chantent dans mon bout de verdure et je reprends ma mer pour la journée, cordialement
RépondreSupprimerFaire peur ? Mouarf je ne me rappelle pas avoir fait peur à quelqu'un ? Reconnais que cette période de science fiction pousse plutôt a regarder derriere , non ?
Supprimerc'est ce qui m'a poussé par ici, cette similitude avec mes mauvais gribouillis de gamin.
Lobbys pharmaceutiques, privation de libertés, globalisation et contrôle de l'informations.
j'ai rêvé trop loin
TQT, c'est l'hiver avec Mars je vais reprendre la mer.
on enferme pas la flibuste.