Février.
Les oiseaux nagent dans le gris.
Tiens il y a plus de quarante cinq piges peut être un peu plus. J'étais morgane d'une belette à moitié sorcière. Qu'est que j'étais d'un boutonneux romantisme naïf à quinze ans. Cucul la praline pour sortir une expression surannée.
Une sirène de Coursailles, gaulée comme une pochette de SAS et qui faisait sécher ses long cheveux sur les gradins du haut de notre regrettée piscine, vers les bouches d'aération du chauffage à la hauteur des grandes baies vitrées. yep elle était la tout les vendredi, si je zappe pas.Ou peut être mercredi. C'est loin.
La miss, ses tifs, poussés par la soufflerie, semblaient posséder leur propre vie. Sorcière je vous dit. Ils se dressaient brusquement et dansaient comme un champ de seigle avant la tempête.
Elle en abusait en secouait négligemment la tête régulièrement.
Dehors le froid de ce mois faisait de grosses bandes de buée sur les doubles vitrages, entourant la pin-up d'un halo de givre du plus bel effet.
C'est bizarre les souvenirs ça ce pointe comme ça en évoquant juste le nom d'un mois.
Même si la belle n'a jamais baissé son regard vers ce gringalet, oui la,avec ce début d'estomac et ce moule bite premier prix, et bien la piscine en Février,c'était cool.
Sûrement la, pour sûr, que j'ai chopé mon goût des tropiques.
Dehors il y avait ce vent, la neige un peu comme ces derniers jours. Et la,les Kékés tapaient des run en crawl like Weissmuller, puis sortaient de l'eau en arc boutant bien leur bras,sur les barres rondes en aluminium de l’échelle. avec en tournant vers le plongeoir, un regard en coin vers la Danaïde du troisième gradin.
Je crois que j'ai jamais autant noirci de cahiers petites carreaux qu'à l'époque.
Février
Dehors Sacha est venu manger avec sa nouvelle copine. de quoi faire la photo de tête de gondole.
Une demie mondaine d'un joli vert émeraude.
Le monde à changé.
Même les piafs et en plus il neige plus beaucoup.
Mais en février, toujours, les oiseaux nagent dans le gris. C'est pas Sacha qui va me contredire.
J'ai pas écrit depuis un moment, je m'étais mis en tête de revenir à l'ancienne, d'écrire d'abord sur un carnet. Au crayon HB. Mais voilà j'ai pas le loisir de me poser sur un coin de table en regardant la neige fondre. Alors j'ai ouvert mon Turtl dans ma ligne K et lâché ma prose.
Je suis sur la lecture d'un livre remarquable. Je vous en parle dès que je l'ai fini. je peux avec peine faire cinq pages de ce pavé par jours tellement ce train file.
Car la ligne K est trop rapide, c'est pour ça que l'on va vous écraser avec ce train de riche qui va vous prendre vos voies deux et trois et votre temps, cette saloperie de Cdg-Express.
Voilà un pt'i teasing lecture pour ma prochaine note. Si je sort de février
Bon vikende, couvrez vous,
les oiseaux nagent dans le gris...
Les oiseaux nagent dans le gris.
Tiens il y a plus de quarante cinq piges peut être un peu plus. J'étais morgane d'une belette à moitié sorcière. Qu'est que j'étais d'un boutonneux romantisme naïf à quinze ans. Cucul la praline pour sortir une expression surannée.
Une sirène de Coursailles, gaulée comme une pochette de SAS et qui faisait sécher ses long cheveux sur les gradins du haut de notre regrettée piscine, vers les bouches d'aération du chauffage à la hauteur des grandes baies vitrées. yep elle était la tout les vendredi, si je zappe pas.Ou peut être mercredi. C'est loin.
La miss, ses tifs, poussés par la soufflerie, semblaient posséder leur propre vie. Sorcière je vous dit. Ils se dressaient brusquement et dansaient comme un champ de seigle avant la tempête.
Elle en abusait en secouait négligemment la tête régulièrement.
Dehors le froid de ce mois faisait de grosses bandes de buée sur les doubles vitrages, entourant la pin-up d'un halo de givre du plus bel effet.
C'est bizarre les souvenirs ça ce pointe comme ça en évoquant juste le nom d'un mois.
Même si la belle n'a jamais baissé son regard vers ce gringalet, oui la,avec ce début d'estomac et ce moule bite premier prix, et bien la piscine en Février,c'était cool.
Sûrement la, pour sûr, que j'ai chopé mon goût des tropiques.
Dehors il y avait ce vent, la neige un peu comme ces derniers jours. Et la,les Kékés tapaient des run en crawl like Weissmuller, puis sortaient de l'eau en arc boutant bien leur bras,sur les barres rondes en aluminium de l’échelle. avec en tournant vers le plongeoir, un regard en coin vers la Danaïde du troisième gradin.
Je crois que j'ai jamais autant noirci de cahiers petites carreaux qu'à l'époque.
Février
Dehors Sacha est venu manger avec sa nouvelle copine. de quoi faire la photo de tête de gondole.
Une demie mondaine d'un joli vert émeraude.
Le monde à changé.
Même les piafs et en plus il neige plus beaucoup.
Mais en février, toujours, les oiseaux nagent dans le gris. C'est pas Sacha qui va me contredire.
J'ai pas écrit depuis un moment, je m'étais mis en tête de revenir à l'ancienne, d'écrire d'abord sur un carnet. Au crayon HB. Mais voilà j'ai pas le loisir de me poser sur un coin de table en regardant la neige fondre. Alors j'ai ouvert mon Turtl dans ma ligne K et lâché ma prose.
Je suis sur la lecture d'un livre remarquable. Je vous en parle dès que je l'ai fini. je peux avec peine faire cinq pages de ce pavé par jours tellement ce train file.
Car la ligne K est trop rapide, c'est pour ça que l'on va vous écraser avec ce train de riche qui va vous prendre vos voies deux et trois et votre temps, cette saloperie de Cdg-Express.
Voilà un pt'i teasing lecture pour ma prochaine note. Si je sort de février
Bon vikende, couvrez vous,
les oiseaux nagent dans le gris...