Les trilles d’un merle, un survivant qui a échappé aux meutes de pies, m’ont tirées du lit.
Le jour n’est pas debout, mais il s’annonce. Comme le Courlu.
Once again !
j’adorais ce ‘Once Again’ quand j’étais mino. Un peu comme ceux aujourd’hui tapent des ‘Guez’ ou ‘Grave’ à tire-larigot.
Une expression de 1248, voilà qui est bien dans le tempo. l'équinoxe de mars, le printemps, Courlu time,est presque la.L'hiver a été long ! non ?
Tiens, hier je suis allé tutoyer mon totem du CE2.
Lui et sa splendide fougère nid d’aigle n’ont pas changé depuis plus d’un demie siècle et des brouettes que l’on se cause.
Oui je sais. Mais il y a bien des Keums qui causent aux oreilles des chevaux. Pourquoi ne captez vous pas que d’autres peuvent babiller avec les arbres ?
C’est très bizarre la mémoire. je me souviens parfaitement de mes premiers sorts, placés ici dans mes cours élémentaires.Des histoires de billes, ou de quilles, déjà.
Peut être a cause de la photo de classe, les bras bien croisés,
Avec cet instit qui portait le joli nom de cette grotte dont on arrête plus de faire des copies.
La conserver pour les générations futures.
je souris.
Tiens en passant le long de la clinique j'ai vu qu'ils avaient destroy l’intérieur de mon CE2.
Tiens en passant le long de la clinique j'ai vu qu'ils avaient destroy l’intérieur de mon CE2.
Mon arbre lui aussi sait que ses jours sont comptés. Qui s’en soucie ? les djinns qui le squattent vont migrer sur le forsythia en face.
ils sont la depuis les premiers mérovingiens qui dorment devant Bricoman, voir même avant. Que la place Camélinat-Jean-Claude.Abrioux soit dévorée par le Lego uniformisateur du profit ne les touchent guère.
Perso j’ai un peu de peine pour les tilleuls centenaires, mais eux, en ont plus pour les humains privés de leur ombrage et de leur chant dans le vent.
Cette note est trop longue. Allez encore une photo. in memoriam.
je file il faut absolument que je retrouve ces tins de clefs, baurdayl...
Quand j'ai acheté ce pav, rue Voillaume poussait encore du blé dans le jardin, vestige des champs qui existaient de l'autre côté du ruisseau qui séparait Aulnay de Sevran au fond de ma propriété. Petit à petit Aulnay perd son passé et le décideur actuel l'enterre encore plus car lui, n'a aucun lien avec notre ville. La Place Camélinat a été marquée comme remarquable, je crois par le département, tout comme l'architecture du stade nautique de Coursailles....Mais qu'importe, ce qui a été reproché à l'ancien maire par le nouveau continue....Entre envie de tout laisser tomber et me retirer dans le 12 ou me battre, les 65 piges hésitent....
RépondreSupprimerHa Jean-Louis ! Le nombre de gens que je connais qui ont fui Aulnay-sous-Bois en trois ans est impressionnant. Rien que dans ma rue trois pavillons.on ne peut donc pas imputer cela uniquement au blues de la fin de l'hiver. Ce professionnel dont tu cause, c'est le héron des grenouilles de la Fontaine. Même si il change souvent de pied, sa voracité n'a d'égale que la soumission des batraciens.j'ai adoré lire sa romance de l'affaire Théo dans oxygène. Du grand art. Un prestidigitateur doué. Mais pas un chaman.
SupprimerTu connais sûrement la Maxime de Lavilliers. "On est pas d'un pays , mais on est d'une ville. Où la rue artérielle limite le décor"
Ce nuisible sera viré que je serais encore la, le vieux crapaud dont le CroooA résonne encore sur la mare désormais silencieuse. Et puis quand je ne reconnaîtrai plus rien, que tout sera uniformisé gris, noir et caméra je m'enfuirai aussi, laissant ici, ceux qui ne votent pas, pleurer sur leur sort