Ensuite je suis pays. Natif d'Aulnay-sous-bois.
Hier je fût même blogueur par ici.
Impossible donc de ne pas parler ici de mon sentiment sur cette affaire Théo qui agite la ville depuis deux semaines.
Impossible donc de ne pas parler ici de mon sentiment sur cette affaire Théo qui agite la ville depuis deux semaines.
En parlant de Pater, j'ai trouvé que celui du jeune Théo interviewé dans l'émission envoyé spécial avait trouvé les mots justes .
Affaire Théo : "Nous, on est des riens du tout, et ça moi je ne supporte pas", Marie-Louise, la mère #EnvoyeSpecial pic.twitter.com/UR3e8GzTgi— Envoyé spécial (@EnvoyeSpecial) 16 février 2017
Et la petite phrase de sa maman, sur le "Qui sommes nous ici ?" c'est un sentiment que je partage, comme beaucoup d'Aulnaysiens.
Mais voila, ce choc était trop prévisible, presque inéluctable. la moisson sécuritaire.
Voila trois ans qu'en dehors du mot SECURITE peu d'echos ne sortent de l'équipe qui gère notre jolie ville.
Une caricature. Rien d'autre, à peine un élu qui se bat pour obtenir des moyens pour la Maison de l'emploi.
Le reste c'est le vide du sécuritaire, des millions engloutis dans cette vitrine idéologique à la sauce de politiciens d'un autre temps, Alors que comme le fait justement remarquer un jeune, toujours dans cette joliment réalisée d'émission. La sécurité ici ce n'est PAS le problème . Non, le problème c'est :
L'EMPLOI
Affaire Théo : retrouvez l'interview de Billel Hidri #AulnaySousBois #EnvoyeSpecial pic.twitter.com/mjPFu2L9AK— Envoyé spécial (@EnvoyeSpecial) 16 février 2017
Mais la, après le depart de PSA , la ville a pris dix ans de retard. Et depuis trois ans avec cette équipe municipale, on a presque rejoint le moyen Age, au moins pour les moyens, les initiatives et les idées.
Il y a peu, attendant le mousse, je regardai les jeunes sortir de Jean Zay. Comme de mon temps ça chahutait en riant. Des jeunes gens de tout horizons et toutes origines à l’école publique.
Mais qui, provoque ici, cette paranoïa sécuritaire et quand cela va-t-il s'arrêter ?