Évidemment aujourd'hui j'aurai pu vous parler de cette quarante neuf trois de loi travail ou de la montée en puissance de la contestation numérique.
Mais je garde mon fiel pour plus tard. Vous aussi vous avez digéré Sun zi vous savez.
Frapper la ou on est pas attendu.
IRL manif de rues ? un peu obsolète. Ce qu'il reste des syndicats. Hum. C'est pour la com gouvernementale, ou patronale sur twitter.Et encore, à la rigueur.
Bon.
Mais ma tof du jour est quand même en rapport avec cet événement. Bien que pas directement concernée par cette patronale directive de loi bidule, les transports ce matin sont en mode grève.
La SOLIDARITÉ. Quel mot oublié, Ça m'plait.
C'est donc la, dans l'humide souterrain à huit zéro quatre, que j'ai pris ma tof du jour. Je met tof parce que je sais que ça dérange des jeunes déjà flétris du coin qu'on cause patois. Les diminués du verbe. J'ai dit verbe. Le correcteur de mon Nexus est coquin, j'ai pas dit de la.
Bon.
Mais comme d'habitude je m'égare.
Reprenons hier je lisais le blog d'un éminent réac qui fustigeais gentiment, le style des nouveaux journalistes. En quelque sorte il a lancé une chaîne. A l'insu de son plein gré.
Lol.
Je tague donc le Nicolas, ça lui fait un sujet, il glande. Et Bembelly ça devrait lui plaire.J'ajouterai bien l'excellent Sarkofrance,si il a le temps, avec toute cette actualité.
Mais la photo de la note de Maitre Didier ne me semblant pas appropriée, je permet de corriger le tir dès ce matin avec cette capture, d'une courageuse entrain de mixer son interview dans les marches du souterrain quai deux de la gare RERB d'Aulnay sous.
plutôt swag non ?
Quel bureau mazette. c'est style quand même,ces nouveaux journalistes.
Voilà.
Ah ces journaleux! Bobiyé. .
RépondreSupprimerMerci ! Oui c'est un métier bien speed à priori. Remarque, qui aujourd'hui n'a pas un métier speed ? Les planqués de théoriciens d'universités qui allument des contre feux sur la loi travail ? Ou les présentateurs télé qui chient sur un million d'adresses mails ?
SupprimerEn tout cas cette jeune femme était charmante et bien que fort occupée, à volontiers répondu oui quand je lui ai demandé pour la photo. J'aurai volontiers Papoter un peu plus si j'avais eu vingt ans, euhhh excuse, y a eu aussi ct'e #@€%!!@ lapideur de droits sociaux de Sarkozy, vingt deux ans de moins.
Mais qu'est ce qu'elle faisait là cette journaliste?
RépondreSupprimerRevenue d'un interview d'un de ces allocataires du RSA qui profite de cette aubaine?
D'un autre avec un proche de notre presque regretté maire de droite qui lui a assuré que le Cap devait devenir scène régionale?
Bon! Désolé mais je vois de plus en plus rouge.....En tout cas, même à mon âge avancé, j'aurais bien raté le RER de huit zéro cinq... ;)
Je vais te rassurer Jean-Louis . voir rouge est fréquent et plutôt sain chez les pirates,. Le principal est de ne pas canaliser ce flux sur des ertatz comme ce Jean-Luc qui claironne dans la lucarne.
SupprimerMais revenons à notre tchote reporter, tintin moderne du RERB . elle était ravissante. Une si jolie fille ne peut pas venir interroger des gens qui tentent d'obliger une contrepartie au RSA, heu non, ils ont démentis,ou changés leur pétoire d'épaule.
Donc des élus qui proposent des heures BÉNÉVOLES dans des associations à des bénéficiaires du RSA. Sans autre contre partie qu'une ligne sur leur CV .
Tu comprend que je vais pas mettre les pieds dans cette bouse.
Les idées à deux balles pour exciter le populisme c'est pas le genre du bord.
Concernant les interviews de notre premier édile, il a le temps, même pendant ses consultations aux Aulnaysiens.
Qui peut,dans les habitants du vieux pays, car c'est par quartier, s'y rendre entre 15:00 et 17:00 un dredi ?
Pas ceux qui taffent, donc ?
Les bénéficiaires du RSA ? Ouh ouh ! Je pense pas.
Non , les journalistes, et encore, d'oxygène.
Mais la à huit zéro quatre c'était un peu tôt.
Voilà voilà.
Encore dix jours et on est au printemps.
Restons concentré sur cet objectif, va.
Ne nous abaissons pas à commenter cet vile opération de communication d'une époque disparue. L'histoire ne retient que les bons. Les petits, les carriéristes, les mesquins vont chez plumeau.