30 décembre, 2015

j'ai pris dix piges.


Avant dernière jour de l'année. Il y a pile dix ans je me demandais où cette aventure allait m'entraîner.
Yep, pour un keum plus à l'aise dans l'action qu'avec l'orthographe c'en est une d'épopée.
Aligner une phrase sans trois fautes est bien plus dur pour bibi qu'un nœud de capucin.
Et bien nous y voilà, à l'avant dernier jour.
Bon anniversaire petit blog.
Tu à vu, pour t'arrimer encore une année je t'ai offert un nom de domaine.
Mais je l’enlèverai un jour, cette ancre flottante, pour que tu puisse t'enfoncer, la bas, loin des statistiques, dans les limbes du cloud.
Difficile de faire un bilan quand on navigue toujours. Mais pour sûr, ce loisir est devenu un petit passe temps.
Un truc un peu plus soft que ce que j'avais prévu au départ, mais avec les années, les priorités changent, vous verrez.
Surtout j'ai fait grâce à lui des rencontres vraiment sympa, des nouveaux potes, plein. D'Aulnay, je les cites pas il se reconnaissent les #Headinabag. j'ai même récupéré un chibi.
Puis sur le ternet ou même IRL dans des endroits magiques comme cette Comète.
Yep, même de la bretagne, c'est fou ce qu'il y a comme bretons dans les sargasses du ternet.
Bref, parti pour les Indes, j'ai pas découvert l'Amérique,mais  j'ai rencontré plein de gens sympa.
j'en oublie sûrement beaucoup,comme une princesse, un poète ou deux et même un  grincheux de réac.
incroyable.
C'est dur de synthétiser dix piges en une page. quelques combats aussi, pour deux trois trucs qui me tenaient à cœur.  Dont ce si symbolique escalator.
Voila.
Bizarrement pas de casses couilles. je les interresse pas les chiassieux du verbe, trolls et autres nerds.
Faut dire qu'à bord ne passe que ce je veux, je suis libre de publier les commentaires. Ceux qui déplaisent à mon égo vont à la planche, comme dans toute bonne histoire de pirates.
Voila, voila. Heureusement pour vous, je pense pas que cette blague dure encore autant.
Mais je m'aventure plus dans les prévisions, Vu que j'avais prévu de calancher dans le club des 27 et que ça commence un peu à dater.
On va sabler ça, on se met une petite ZIK ? je fond pour ces belettes presque pays qui seront donc ma découverte préférée de 2015.
Elle vont sortir un disque. si ça vous dit.
Yo !
Bon anniversaire petit blog.
J'ai pris dix piges.
Sans dec, quelle dalle j'ai eu.

23 décembre, 2015

завораживающее город

Partir.
Ça faisait un moment que j'avais pas bougé. Mais quand vous avez attrapé le démon du ruban étant mino,il revient toujours. C'est comme la cigarette. Après l'arrêt, des décennies plus tard vous avez toujours la tentation au détour d'une occasion.
La clope je cède plus, mais le sirop de la rue,le plaisir de voir d'autres lieux, d'autres vies, d'échanger, impossible.

Hiver sans froid, hiver d'effrois. Je suis un curieux, me voila donc parti dans le grand nord. la c'est mon bateau. nan! je déconne.
Une ville de six millions d'habitants.
Et à peine débarqué,j'en ai été envoûté... Happé.
Pas un papier par terre. Pas un mégot. Un métro rapide, sans vitres rayées, ou un jeune c'est levé spontanément pour laisser ce poser une grand mère.


Certes ce n'est pas le paradis. Une autre grand mère voutée qui chantait comme piaf dans une ruelle sombre par moins sept me l'a rappelé. D'ailleurs en rapport de chez nous, beaucoup lui donnait.
La charité,c'est ceux qui ont le moins, qui donnent le plus souvent, non ?
Et puis,être plus dérangé dans un fabuleux musée, par les nombreuses classes d'élèves en vestons  qui piétinent d'impatience pour voir les œuvres à gommé le malaise.


En parlant d’œuvres , avec qui je papotai l'autre jour, qu'une jeune fille voilée , quand ce n'est pas excessif comme cache minois, peut être charmante, mince je perd la mémoire me souviens plus. ;.)


Mais jean-baptiste Santerre a capté les yeux de cette jeune femme de mille seize cent seize, bigre.
bon.
Peu de neige aussi ici.


L'absence de froid perturbe la nature. les Ours deviennent agressifs.
les gens leurs portent donc de la nourriture pour éviter les incursions dans les villages.
Ha l'ours russe même burger king ici l'incante sur les trottoirs

À ce propos, finissons en ! .Je ne vous dirais pas ce qu'ils pensent tous de leur natif pays,l'ours Vladimir, c'est largement à l'opposé de ce que l'on entend ici.
Mais revenons à Saint Petersbourg. En si peu de jours, j'ai navigué de long en large. Impossible de mettre la main sur la maison de Dostoïevski. sûrement un sort de mauvais Goux. À chaque coin une nouvelle découverte, donc à force de courir les lettres cyrilliques des plaques, je l'ai loupée. Cette ville à un charme fou.
Et partout de l'histoire !

Ce qui m'a le plus étonné c'est cette jeunesse immense et joyeuse dans les rues. comment dire.
Motivée.
Ha ! Si jetais un blogueur de trente ans, ou de moins trente ans, diable que les filles sont jolies.

je vous met quelques photos, pas des belettes, du patelin. Bande de gros sales.


Difficile de résumer.

Et ces moment uniques.

Cela tiens parfois  à quelques instants surréalistes. Comme dans le bar de cet hôtel à l'aménagement pré pérestroïka,  marbre et acajou, ces trois vigiles en costumes gris anthracite et qui délaissent la surveillance du portillon pour mater en loucedé sur la télé du coin Rambo en russe.
Ou tout ces Q7 et autres Porsche Cayenne très loin de respecter la limitation, que j'ai rarement vu ailleurs en si grand nombre d'ailleurs, qui pilent dès que tu met un pied dans les clous.
Ou les chats croisés, discrets,mais vénérés.

Ou après cet étonnant redoux pendant la nuit,de moins dix à six, la chanson de tout ces pneus cloutès dans les embouteillages.
Ha les embouteillages, c'est pas pour rire. Des avenues large comme le périf, et blindées. Quand je pense que des demeurés chez nous voudraient plus de voies pour les voitures. Qu'ils viennent naviguer ici, tiens.


Et l'étendue ! Les gens trottent c'est impressionnant. Je me suis fait aux portiques, ceux du  métro, ceux des magasins, et ces myriades de caméras partout.
D'ailleurs, Inutile de tenter de passer à côté deux baraqués en treillis neige (je sais où certains 93600 se fournissent #privatejoke) veillent au grain.
Well, mes amis blogueurs qui ne jurent que par la grosse pomme,si surannée et prévisible, devraient tenter le voyage. Le parallèle avec le New York foisonnant des seventies est facile.
Voila, voilà pour l'envoûtante St Petersburg, место быть .Trop swag.
Mes guibolles rendant l'âme, je n'ai pas eu la patate pour sortir jusqu'au bout de la nuit,ce que j'aurai du faire in Prince Georges memory. Mais ce n'est tout de même pas une note sponsorisée. J'ai pas touché un décilitre de  Kremlin Award pour ce flot de gentillesses.

Pour les gens qui trouvent, ou trouveraient qu'avec ce gribouillis je suis pas dans le bon sens du vent. je leur rétorquerai que les pirates son entrainés depuis mousse à pisser face aux éléments,

qu'ils révisent donc la bérézina et ces différents échos ces formatés du discours, tiens.

Il suffit.

Allez bonnes fêtes les gens.


16 décembre, 2015

Soixante dix sept


Soixante dix sept,
C'est fou tout ce que ces gens déterrent des seventies. ils se rendent pas compte tout ces souvenirs qui remontent dès qu'on touille un peu la boue grise de l'oubli.
I am not in this world to read your notes, comme m'avait lâchée une de mes douces ex de l'époque qui n'appréciait pas mes missives répétées de prose nostalgique.
De retour dans son pays de mangeurs de knäckebröd, elle m'avait gentiment sabré la viking.
j'aimerai bien être un vilain troll du nord pour voir l'adorable grand-mère préparant noël qu'elle est devenue. tiens !
Soixante dix sept,
l'eau à coulé sous les ponts,cependant depuis j'aime pas laisser en tête de gondole les pages trop bleues.
Donc me revoilà.
En parlant de tête de blog. Ne voilà pas que Google après des années de sommeil sur blogger lance un nouveau gadget.
Incroyable. Un bidule pour mettre en avant un post particulier. Le problème après, c'est laquelle choisir de note. j'aimerai bien un truc aléatoire,dans ce machin la.
Mais si Google replonge dans blogger. C'est plutôt cool. On se demandait si cet outil était pas le dernier O de la société.
Mais revenons à soixante dix sept et aux souvenirs.
Tout ce foutoir est déclenché  par la sortie ce mercredi du nouvel opus de StarWar.
Forcément cela me replonge dans le premier épisode. Je vivais à l'époque dans un camping de fauchés totaux au coeur de la  côte basque. C'était rempli d'Australiens surfers et soiffards,
de loulous du sud Ouest ganjailleurs, voir quelques escrocs et autre marlous en déveine.
Et bien sûr, quelques traîne-lattes du temps perdu, largués de la route dans mon genre.
les pirates, professionnels de la liberté.
Plus souvent au bar d'ailleurs,que sur la plage.
L'air détaché et important, Je relisais Dune, dans sa première édition. Je m'en lassais pas. Ce péplum m'avait coûté un bras. Mais le pavé à la couverture argent était aussi la pour attirer les questions de mes voisins de terrasse, je tentais de passer pour ce que je n'étais déjà plus.
Un liseur de livres.
C'est dans cette ambiance, entre deux recherches de consignes en verre pour gratter un peu de cash, que je passais un midi devant l'affiche de ce film "La Guerre des Etoiles" au ciné de Biarritz.
Dire que j'ai été scotché est un peu exagéré.J'ai adoré ce western. Mais je me disais que le jour ou Dune sortirai en film, ce gentil space opéra serait oublié.
Je m'est gouré.
Dune est sortie, et à fait flop. j'ai jamais été doué pour flairer les galions remplis d'or. Mais ce n'est pas le but ultime du pirate.
StarWar envahi les hottes de Noël, les affiches, les vitrines,le box office et tout ce qui se vend.
Voila, je crois que je vais relire Dune, pour voir si ce livre est toujours magique.

Tiens puisqu'on cause 1977





13 décembre, 2015

Leffe


Il suffit d'une semonce.
Vous savez ce truc qui vous surprend un jour gris comme les autres.
Un frein du spad qui lâche juste devant la camionnette qui déboule de droite à plus de cinquante sur le rond point Édouard VII.
Ou cette vilaine fatigue qui vous cloue pendant deux jours, avec ces symptômes chelous, que même vous lâchez le ternet pour ne pas affronter le déprofondis Doctissimo.
De toute façon trouver un toubib sur Aulnay, c'est la blague maison.
- t'a appeler le nouveau toubib ?
- oui, il ne prend plus de nouveaux patients
Alors, on se dit,la, le fil est tenu. 
Ça pourrait s'arrêter comme ça, pouf...
Le plus embêtant pour moi, c'est que j'ai pas tout raconté, enfin l'essentiel.
Et dans l'essentiel il y a Leffe.
Pas la marque de bière, bande de soiffards. Non le sus nommé avait sûrement hérité d'elle son nom à cause de sa robe alezan mordoré.
Ha... les chevaux, peut-être la passion de mes vertes années que je regrette le plus. À l'époque les bois n'étaient pas aussi fréquentés. Il n'était pas rare que dans nos virées à donf sur la serpentine, il n'y ait les dix pour cent de casse autorisé par notre ex légionnaire de meneur. Que de souvenirs d'adrénalines et de liberté.
Galoper de front dans les chaumes, cravaches au clair,hurlant 'A la poussière !', avec l'ivresse du vent d'hiver et le sourd bruit de la charge comme musique de fond.
Oui je regrette.
Et parmi tout ces canassons disparus, revient ce fameux Leffe qui traîne encore fièrement sur mon foutoir de bureau.
Ce ne fut pas le plus beau,ni le plus rapide, comparé aux formules un de la piste des lions  une décennies plus tard.
Mais lui et moi on était potes. De vrais potes. Petit cheval de club, il était connu pour se débarrasser du premier kéké qui voulait jouer les cadors sur son dos. Pourtant j'ai gagné mes premières [et seule coupes si je me souvient bien] avec son concours.
Rapide, capable de sauter du gros malgré son petit gabarit. Et une terreur en cross.
Ha la jeunesse  insouciante et ingrate...
Un jour j'ai pris mon envol pour d'autres aventures. De retour dix ans  plus tard le petit cheval avait été remplacé.
On ne demandait pas, en ces temps, ce qu'était devenu un vieux cheval de club.
Les pensions de retraite était encore réservées à quelques propriétaires nantis.
les années ont filées.
Il y a quelques semaines en vadrouille avec Buck, j'ai remonté la serpentine abandonnée. Envahie par les ronces et bloquée par deux châtaigniers couchés par les tempêtes. Cependant la mémoire des foulées entre chaque virage, elle par contre, était toujours la.

Voilà le prochain chauffard, je pourrai éviter de me viander sur le trottoir.
L'essentiel est presque fait.
Et puis sur, qu'il m'attend, ensemble, on hantera la serpentine.
Gare les ramasseurs de champignons.

09 décembre, 2015

L'union. enfin.


Souvent j'entends des gens autour de moi, au détour d'une conversation :
- j'aimerai bien déménager. Partir en province. La vie ici, pffouiouuu...
Ailleurs l'herbe est toujours plus verte pour rosalie.
Et bien moi franchement pas.
Je me vois pas un petit dimanche gris du ch'nord ou pire avec un joli soleil pâle d'hiver varois, me trainer à reculons au bureau de vote pour lâcher un blanc.
Tout ça, parce que les états majors et autres apparatchiks parisiens dans leurs dorures dix huitième ont votés pour moi.
Heureusement, un mec assure et sauve l'honneur à l'est. Même si il va au casse pipe. Il y va debout.
Non, je me résoudrai pas avoir à voter pour une droite extrême ou une extrême droite.
Le front républicain est une légende urbaine.
Encore pour  Jacques, il était swag. Mais ceux là ...

Sinon je suis vernis.
Je suis assez fier de mon département, ce si décrié neuf trois. lui qui à contenu ces limités du front.
Et mieux !  on a même une liste d'union de la gauche pour tenter de sortir cette charmante esperluette vénéneuse Pécresse
et son chevalier servant du coin. Celui là, un Bayard du scrutin toujours à courir une élection pour éviter de s'occuper de notre commune. Et ça délègue même pas. Un immobilisme qui serait mal venu pour la région. Un exemple ? La piscine lourdée depuis un an et des articles de langues de bois dans la gazette locale. Les cm2 des quatre vingt deux mille habitants peuvent prendre les toutes nouvelles installations Autolibs pour aller apprendre à nager dans le soixante dix sept.
Misère, et vous voulez ces marlous à la région ?

Oui je suis chanceux.
Je vais pouvoir voter pour une vraie liste d'union. j'en rêvais, il l'ont faite. je salue Laurent et Cosse qui ont mis une sourdine sur leurs râleurs. Car il y en a des insatisfaits,pas  plus chez eux qu'ailleurs, tiens.  Une liste de gauche conduite par le Bartolone. Si, si, il est bien ce petit.  Du coup ,si la participation pouvait remonter de quelques points, parce que 64% d'abstention au premier tour sur Aulnay Sous,c'est limite effrayant. À croire que les gens se tamponnent d'avoir des droits civiques ou qu'ils veulent tous déménager dans un région ou on leur impose leur vote.
Voir dans un théocratie à la noix ou un Royaume, ou le droit de vote n’existe pas.
Avec la mondialisation faut s'attendre à tout.
bougez vous #baurdayl

VOTEZ DIMANCHE

PS: en parlant de rien lâcher, vous les trouvez pas beaux nos nouveaux escalators ? Après ces années de lutte,pour bibi, c'est un petit plaisir journalier . Et c'est devenu un lieu incontournable pour les tracts ;.)





06 décembre, 2015

les deux ânes


Ce dimanche de décembre, si les bureaux de vote n'étaient pas blindés, on peut pas en dire autant du marché de Noël dans le parc de l'abbé Dumont.  Ça à du le réjouir l'abbé.
Le temps doux de décembre, le dimanche, aérer les enfants dans le parc. Et des camelots à gogo. Difficile de se frayer une place dans les allées. 
la ferme avait un réel grand succès. presque plus que les allées.
il y avait une dinde.
sale temps, pour les dindes. 
même si Thanksgiving est passé.
une Oie cachée dans la maison, pareil. je comprend qu'elle sorte pas.
sale temps pour les oies 
Et quelques poules, qui assez rondouillardes auraient pu, une fois plumées passées pour un chapon au yeux d'un fastfoodeur.
sale temps pour les poules.
Bon, moi j'étais parti présenter des moutons à Buck, ce berger des villes. 
Franchement il a apprécié. il voulait plus décarrer. un vrai candy crush pour barclé.
Par contre il a eu très peur des deux ânes. 
Pourtant les deux baudets tout le monde voulaient les caresser.Du coup,il se croyaient important. hochaient gravement du chef. Comme tout les ânes, ils se croyaient irremplaçables.
A un moment ils se sont retrouvés seuls . 
Mouvement de foule. la vache à téco s'étaient lévée.
ils ont couchés les oreilles, décus. désemparés. abandonnés.
j'aurai pu dire sale temps pour les ânes, mais non. je me résout pas à plaindre ces quadrupèdes entêtés
même si on remet le sisson de bourricot à la mode,
comme ceux qui se sont abstenu de voter ce dimanche, tiens,pareil. 
j'aurai pu dire sale temps pour les ânes, mais non. je me résout pas à plaindre ces bipèdes entêtés.
galérez pendant six ans


04 décembre, 2015

Résistant de la République

On est déjà en décembre.
ça vous fait pas drôle ? cette sale année a filée si vite qu'on se retourne et hop c'est presque fini.
ça me rappelle un truc, mais la je vois pas quoi.
Presque les fêtes, déjà. Incrédible.
Me voilà oiseau de nuit. Limite chat huant.
J'hante les rues à l'heure des colleurs d'affiches, effrayant avec ce satané Buck, les mamies qui sortent leurs gadoues...Heu poubelles.
Je reluque les drapeaux qui sont restés aux fenêtres.
C'est bien beau d'agiter des drapeaux, mais pour moi le côté républicain, c'est surtout le vote. 
Les bougies que je voie, aussi c'est émouvant. Mais c'est du souvenir.
Le Futur pour six ans c'est dimanche, le vote.
VOTEZ
Vous avez l'embarras du choix.
La liste de Barto qui vous a réduit drastiquement le prix du pass Navigo et un peu moderniser le RerB. c'est pas rien  non ?
La liste de pierre Laurent pour ceux qui,comme bibi,veulent un peu plus de gauche.
Et même pour les djeun's qui sont comme des vrais jeunes, pas des étranglés de la cravate, cette liste Fluo qui a même des pirates,des bédaveurs et des supporters parmi les personnalités locales du woueb. je cites pas, ils se reconnaitront
Osez, osez Joséphine
En parlant de jeunesse ,je vous ai pris ce graffeur mélomane ce matin. Aulnay by night.
Ça nous change du stéréotype des produits commerciaux à deux graves onomatopées des rappeurs du coin. Ces blaireaux qui s'expatrient aux states  et viennent prendre un pt'i clip a Emmaüs dès qu'ils veulent jouer les caïds ou remplir leur poudrière.
Ouai. mais à yé,moi  aussi je m'égare. Reprenons, votez !
Et pas pour ce clone de morano, cette Pécresse qui en veut à l'école de la république, avec ici, quatre vingt treize six cent son cumulard si peu embrouilleur des lois de la république.
Lui dont on voit, hélas, déjà les dégâts de gestion sur la ville en à peine plus d'un an. 
Niaiser les gogos en se proclamant "les républicains",de mon point de vue ,"les gloutons" eussent été mieux choisi.
J'ai été trop long. Il me reste plus de place pour dézingué le vieux raciste et son juvénile palefrenier de la liste préféré des résidents de l'hospice. Mais je vais devenir vulgaire et c'est un blog pas un défouloir contre des gens qui ne respectent pas l'humain.
Bon j'arrive au taf.
OK les gens ?

                                         Dimanche.      

                                          V O T E Z