Ce mois de juillet cartonne. Allonger dans mon hamac entre chien et loup. Je profite du calme et de la relative fraîcheur du soir. Tout mes voisins sont ré-ba ou reclus derrière leurs volets clos. On entend que le BLOUP des koï à la surface de l'eau et de temps en temps le bruit d'une sirène au loin vers la A3, Voire un kéké sur sa bécane, qui tire un rapport .Tant que le vent nous ramènera pas le bruit des trains, il ne pleuvra pas vraiment.
Petit à petit le jour s'en va.
Je sais pas pour vous , mais il me semble que je suis pas le seul à avoir une mauvaise main au creux de cet été.
j'ai lu ici ou la , comme un spleen du blogueur.
j'ai lu ici ou la , comme un spleen du blogueur.
D'abord chez le pacha, ou chez la reine de la fender. Même dans le nord, ou je bégaye, le blogging est Stand By. Moi ce n'est pas de la nostalgie, normale en cette saison,comme celle de cette jolie note, qui me talonne.
Non, ce sont les signes, qui s'accumulent ces jours et que j'ignore. ces fameux runes,comme diraient d'autres superstitieux navigateurs. Pour l'avenir je suis limite shaman, follow me, je suis un expert, ah ah.Alors je vais pas me mettre à compter les mouches, quand même,mais comme c'est mon blog j'y fais ce que je veux , même un index de mes lectures si ça me chante.
D'un coup, le vent se lève, le temps tourne. le chasse fantôme se met à tintinnabuler et la corde du hamac crisse sous la poutre Il est temps, il faut que je m'extirpe de ce summertime blues.
Tiens ! on entend les trains...
Allez je vais sortir mon cahier grands carreaux et le remplir de vilaines pattes de mouches. IRL quelque part à l'abri, en écoutant la radio de l'été.
Je pense avoir le temps. Ce blog va donc rester jachère, le temps que je griffonne mes quatre vingt treize mille six cent mots
à bientôt,désormais vous connaissez la formule :