Il y a des notes vous savez pas comment les commencer. Elles tournent. Elles reviennent. A un moment donné faut y aller .Des fois quand je les reprends plus de quatre fois je les jette.
trois et demie allons y !
Ce qu'il y a de bien quand on atteint un certain âge, c'est qu'on s'enflamme plus aussi vite qu'avant.
Mais y a pas que ça. Il y a la vision du monde. On peut apprécier l'évolution .Enfin le terme apprécier est peut être un peu positif. On va dire mesurer. C'est mieux.
Il y a un truc qui m'a marqué ces cinq dernières années dans l'évolution des comportements .
je pourrai prendre le cas de mon mode de transport ce cher RERB d'où j'ai souvent le loisir de vous écrire.
C'est pour moi une source inépuisable d'inspiration pour ce blog, on me chambre assez ;.) . Mais c'est une mesure d'ethnologie ferroviaire incomparable. Bien sûr de par sa diversité et le nombre de ses voyageurs, mais aussi par le caractère aléatoire de son fonctionnement, bien évidemment.
Désormais si vous regardez bien, les usagers qui ne sont pas plongés sur leur smartphone, tablette, notebook sont en minorité. comptez combien lisent un livre, ou même un gratuit. Mais c'est l'accompagnement banalisé du casque audio qui m'interpelle. Le discret, mais surtout le 'world cut ' vous avez essayé ?
Le monde extérieur devient silencieux, distant. presque virtuel. je pensais être un original largué depuis mon premier Iphone One, un de ces débris de vélociraptor des séventies à casque HI-FI. Mais je vois que l'épidémie se répand. il s'agit donc du double effet smartphone.
Je m'étonne un peu de voir toute ces modernes solitudes.
Chacun sur son réseau,sa fréquence, sa sociabilité numérique forcément bordée. Forcément cloisonnée. En tout cas coupée du reste du wagon. D'ailleurs les musicos et autres mancheurs ont senti le vent et ont presque disparus.
Bon je déconne sûrement mais je me demande qu'elle va être la limite de cette immersion. l'attitude des solitudes, heu l'altitude des solitudes. même dans la rue comme sur la tof du jour, le casque c'est banalisé.
Ce qu'il y a de bien quand on atteint un certain âge, c'est qu'on s'enflamme plus aussi vite qu'avant.
Mais y a pas que ça. Il y a la vision du monde. On peut apprécier l'évolution .Enfin le terme apprécier est peut être un peu positif. On va dire mesurer. C'est mieux.
Il y a un truc qui m'a marqué ces cinq dernières années dans l'évolution des comportements .
je pourrai prendre le cas de mon mode de transport ce cher RERB d'où j'ai souvent le loisir de vous écrire.
C'est pour moi une source inépuisable d'inspiration pour ce blog, on me chambre assez ;.) . Mais c'est une mesure d'ethnologie ferroviaire incomparable. Bien sûr de par sa diversité et le nombre de ses voyageurs, mais aussi par le caractère aléatoire de son fonctionnement, bien évidemment.
Désormais si vous regardez bien, les usagers qui ne sont pas plongés sur leur smartphone, tablette, notebook sont en minorité. comptez combien lisent un livre, ou même un gratuit. Mais c'est l'accompagnement banalisé du casque audio qui m'interpelle. Le discret, mais surtout le 'world cut ' vous avez essayé ?
Le monde extérieur devient silencieux, distant. presque virtuel. je pensais être un original largué depuis mon premier Iphone One, un de ces débris de vélociraptor des séventies à casque HI-FI. Mais je vois que l'épidémie se répand. il s'agit donc du double effet smartphone.
Je m'étonne un peu de voir toute ces modernes solitudes.
Chacun sur son réseau,sa fréquence, sa sociabilité numérique forcément bordée. Forcément cloisonnée. En tout cas coupée du reste du wagon. D'ailleurs les musicos et autres mancheurs ont senti le vent et ont presque disparus.
Bon je déconne sûrement mais je me demande qu'elle va être la limite de cette immersion. l'attitude des solitudes, heu l'altitude des solitudes. même dans la rue comme sur la tof du jour, le casque c'est banalisé.
le monde du silence.
C'est comme pour nos loupiots, regardez les : fessebouc, snaptchache, skaillpeu des champions réseaux sociaux numériques. Mais ça n'a rien arrangé dans leur communication, au contraire.
A priori, les premiers bécots ne sont plus si fréquents aux coin des rues. Peut être que le temps est trop mauvais.Ou que c'est vorbiden par une religion quelconque.
Le printemps me semble plus vide.
Allez, tout simplement qu'avec mon casque je ne les calcule pas à viber mes vagues du net.vieux machin. Et n'allez pas croire que je regrette le temps d'avant.
Juste je reste sur mon titre , Phase II : isolation
Avant que j'ai mon nouveau - plus si nouveau que ça - de téléphone, je m'étais déjà amusée à regarder combien de personne avait le nez sur leur smartphone.
RépondreSupprimerDésormais, j'en fais aussi partie... Mais pas de casque : j'ai trop peur de finir comme ces abruti(e)s qui mettent le son trop fort dans leur oreilles ou qui on un casque pourri et qui font profité les voisins.
Parfois, je lève les yeux, je regarde... et quand je vois certains touristes... parfois, je prends l'initiatives de les aidés... pas toujours. ça dépend.
Je me demande si je n'ai pas + de contacts avec les twittos le matin qu'avec qui que ce soit dans la rame...
En fait moi qui était le sauvage de base plus près de l'ours que du candidat de téléréalité. Je m'aperçois que de plus en plus je 'papote' avec tout le monde. je dois reconnaitre c'est désormais un petit plaisir de tomber mon casque et perdre deux minutes à renseigner un papa aux yeux égarés dans ce havre souterrain de la gare du nord avec son pt'i bout d'homme qui peut plus arquer. Des fois même sur le temps qu'il fait comme dans le RER l'autre jour aux premiers rayons de soleil a faire sourire tout le wagon.
SupprimerCertes je papote aussi numérique , et pas qu'un peu, mais je pense que le dialogue naturel se dilue pour beaucoup de raisons,on va pas développer ^^ et surtout que le numérique ne laisse rien aux dés du hasard