il est un thème en ce moment qui plait a la blogobulle d'Aulnay sous.
c'est les colleurs d'affiches. Je vois pas pourquoi je la ramènerais pas.
A priori une équipe se distingue niveau logistique et rapidité d'actions. A peine un de ses adversaires a collé que le discret monsieur passe avec sa petite auto grise, sa raclette et hop le retour de
Pour être au courant si rapidement c'est à croire qu'il a installé une vidéo-protection privée de ses affiches ... Ou un réseau de bignoles, bien plus efficace en fait, on reconnait le pro.
Tout irait pour le mieux , la loi du plus rapide, si emporté par leur soif de victoire nos colleurs n'avaient pas laisser libre cours à leur pinceaux un peu toupar comme Mickey avec son balai dans Fantasia.
Je sais pas ou j'ai été chercher ça. cette saloperie de fièvre de la grippe, certainement.
Bon on se croirait revenu aux joyeux temps ou les affiches recouvraient tous les platanes de la route de Gonesse aux péniches accrochées au bout de la rue Jean Jaurès. La, au moins, on savait qu'il y avait des élections.
Aujourd'hui, à part les pros, qui peut me dire la date sans regarder son google cal ?
Écolier j'adorais crayonner ces faire-valoirs en descendant la rue Anatole France. J'étais le roi de la cicatrice, du cocard, et de la plastique dentaire pour les trop souriants.
Les colleurs sortaient en bande de dix douze malabars, tard la nuit avec des manches de pioche, ce qui est curieux.
En rentrant de la gym sur nos mini-vélos nous pédalions plus vite, car aux regards noirs lancés par ces groupes en cagoulés notre évidente culpabilité ne faisaient plus de doute.
Tiens pour les adorateurs crédules des seventies. Quelle mouche nous avait piqués pour vouloir tous des vélos pliables à mini-roues ? No say, sûrement pareil délire que la mode des diesels maintenant.
Yo on est en 2013...
Ce petit coté has been saloperie de réclame me plait assez. En plus c'est interdit ces placards sauvages, ce coté illicite dont raffole les pirates. Notre jacques serait-il gentilhomme de fortune ?
Écolier j'adorais crayonner ces faire-valoirs en descendant la rue Anatole France. J'étais le roi de la cicatrice, du cocard, et de la plastique dentaire pour les trop souriants.
Les colleurs sortaient en bande de dix douze malabars, tard la nuit avec des manches de pioche, ce qui est curieux.
En rentrant de la gym sur nos mini-vélos nous pédalions plus vite, car aux regards noirs lancés par ces groupes en cagoulés notre évidente culpabilité ne faisaient plus de doute.
Tiens pour les adorateurs crédules des seventies. Quelle mouche nous avait piqués pour vouloir tous des vélos pliables à mini-roues ? No say, sûrement pareil délire que la mode des diesels maintenant.
Yo on est en 2013...
Ce petit coté has been saloperie de réclame me plait assez. En plus c'est interdit ces placards sauvages, ce coté illicite dont raffole les pirates. Notre jacques serait-il gentilhomme de fortune ?
Hum ne nous égarons pas il a toujours été très mesuré vers la droite du centre ou le centre de la droite. A tribord quoi.
Moi ce que je retiens c'est que ses colleurs ne sont pas très regardant sur le support. On apprend donc que notre élégant Jacques est une star du ragga, version cubaine le reggaeton. Enfin c'est ce que j'ai compris. il se serait produit au Bug fin novembre.
C'est plutôt surprenant. je le voyais plus fan de Holydays. Vi yonni .
ce ragout de salsa mixé hip hop, je suis pas sur que ça ratisse large. quoique je ne connaissions point, mais c'est écoutable ;.)
Évidemment comme il passe ces nuits en boite, le dandy, il est bien obligé de distribuer un questionnaire pour capturer l'air du temps.
la circulation ? l'emploi ? les commerces ? le RER B , ha non celui la il a déjà pris le train en marche.
En tous cas avec ses affiches, il a repris avec succès la sentence du regretté Zitrone
« Qu'on parle de moi en bien ou en mal, peu importe. L'essentiel, c'est qu'on parle de moi ! »
c'est pas faux.
c'est que fait la blogobulle.
Moi ce que je retiens c'est que ses colleurs ne sont pas très regardant sur le support. On apprend donc que notre élégant Jacques est une star du ragga, version cubaine le reggaeton. Enfin c'est ce que j'ai compris. il se serait produit au Bug fin novembre.
C'est plutôt surprenant. je le voyais plus fan de Holydays. Vi yonni .
ce ragout de salsa mixé hip hop, je suis pas sur que ça ratisse large. quoique je ne connaissions point, mais c'est écoutable ;.)
Évidemment comme il passe ces nuits en boite, le dandy, il est bien obligé de distribuer un questionnaire pour capturer l'air du temps.
la circulation ? l'emploi ? les commerces ? le RER B , ha non celui la il a déjà pris le train en marche.
En tous cas avec ses affiches, il a repris avec succès la sentence du regretté Zitrone
« Qu'on parle de moi en bien ou en mal, peu importe. L'essentiel, c'est qu'on parle de moi ! »
c'est pas faux.
c'est que fait la blogobulle.
:)) Tain ! Il s'en passe des choses chez toi.
RépondreSupprimerTiens tu m'étonnes ;.)) c'est Aulnay sous, y a une réputation à tenir.
Supprimerles blogs sont à cran. d'ailleurs même le parisien, la PRESSE, grand dieu ! vient d'en causer, ce qui fait qu'un petit droitier que j'avais oublié dans ma liste vient de polycopié. en fait les blogs citoyen par ici descendent de la ronéo.
des ronéo-blogs, un rien m'amuse. je la trouve bonne je reste la dessus. @plus
Il faudrait que je plonge dans mes archives afin de trouver les dégâts des dernières élections. Ça arrache et ça jette même pas un sac, directement sur nos trottoirs.
RépondreSupprimerEt après les mêmes cons pleurnichent dans les blogs.
Yep l'acharnement est identique à croire que les loulous se promènent avec une griffe à palourde dans leur banane.
Supprimeren plus le papier déchiré coule en lambeaux du panneau jusqu'en vrac par terre, si c'est sale c'est pas grave ils accusent les services municipaux. trop facile.
je vais bien finir par en gauler un dans ma boite.
gardez vous à bâbord salopiots...