Anniv III : Dernier Couplet

Avant-dernier jour de l'année.
Pile l'anniversaire de ce petit blog,

en 2005 j'ai écris ce Trente Décembre la : 'On verra bien ou ce calepin on-line va m'emporter'
ben voilà, par la.

J'ai donc écris trois notes pour cet événement . Car pour bibi, s'en est quand même un petit. a part @jegoun je connais pas beaucoup de quidam qui tienne la barre depuis ce temps là.{maj 2013.12.30 08:46 insideRERB et @falconhill l'homme du SUD}
deux mille cinq. Le moyen âge du net non ?
Jusqu'à dorénavant, je ne voulais plus parler uniquement que de moi. Un sujet sans intérêt .
Me réapproprier ce calepin.
Mais je lis tellement de platitudes dans les commentaires de certains blogs et dans les nids de twitter ou certains volatiles se regroupent et se congratulent en s'ébouriffant que je suis pas sûr de tenir parole.
Faire chier les esprits étroits semble être une raison suffisante de continuer encore un peu.
2014 s'annonce comme un grand cru pour les mesquins, les petits, les apôtres des larmes, mais pas pour eux,ne nous y trompons pas,  pour les autres, hein.
N'ai je pas lu dernièrement dans un commentaire par ici, que si tu venais en aide à ton prochain, rom je te le concèdes, on t'incarcérera. Même, comme la prison n'est pas aussi terrifiante que le porte monnaie, chez ces gens la, on te taxera de LOoourdes amendes. si, si.

la honte s'épanche sans complexe.hein Tom !
Cela me fait penser à cette corneille qui croasse à l'angle des rues Jean-Jaurès et héron. Tout les matins, ailes déployées,elle vocifère ses sorts du haut de son platane.
Mais les voitures, ces autistes boites métalliques aux grands yeux aveugles, omni bullées par le stop, l'ignorent avec superbe.

Il n'empêche les corneilles sont de plus en plus nombreuses.
Surtout sur le net. Ces nuisibles et stupides corvidés jacassent à longueur de temps leur mélopée haineuse à peine recouverte de quelques artifices.
Tu vois petit blog pour 2014 je t'offre un vpn et le plaisir d'en moucher une ou deux de ces sombres âmes morveuses.

Avant-dernier jour de l'année.
Bon anniversaire petit blog
tiens,  ze tube

Anniv II : L'inconnu de la vitrine

Avant-dernier jour de l'année.

Pile l'anniversaire de ce petit blog.

En 2005 j'ai écris ce Trente Décembre : 'On verra bien ou ce calepin on-line va m'emporter'
ben voila, par la.

J'avais bien remarqué, je me croyais juste cossard. Appelez l'ascenseur du cinquième pour monter au second.
Ou s'inventer une excuse pour ne pas prendre un vélib le soir pour remonter gare du nord.
Voir s'arrêter à la douzième marche pour reprendre mon souffle
Se dire mince je fatigue.
Et puis un jour ou on a autre chose à faire, mais ou on navigue dans ses eaux territoriales, passer saluer un vieux marsouin de copain dans son échoppe d'arrière cour parisienne.
Un de ceux avec qui les troisième mi-temps de horse-ball duraient jusqu'au matin et les sorties actions remplissaient toujours leur quinze pour cent de casse.
Le noyau dur.
Le kling de la sonnette, le fait se retourner. La mâchoire carrée est un peu empâtée, mais l’œil semble toujours rapide chez ce vieux briscard, car en me voyant il a glissé la main sous son comptoir.
- Monsieur ?... O_oh merde j'ai failli pas te reconnaitre
La phrase qui tue.
Sourire, tourner la tête vers la cour et apercevoir cet inconnu avec cette ridicule barbe de cinq jours poivre et sel dans le reflet de la vitrine.
Papoter cinq minutes puis filer à l'arrivée d'un sauveur de client.
Il a pas raté sa cible. Pas pour rien qu'il était dans les avants.
Voila c'est comme un poids la, maintenant.
Un truc qui me fait depuis éviter tout les miroirs .
On est trahis que par les siens. non ?

Avant-dernier jour de l'année.

tu vois comme toi, moi aussi je fatigue.
bon anniversaire petit blog.

Tiens un tube aérien

Anniv I : La malédiction de Gainville

Avant-dernier jour de l'année.
Pile l'anniversaire de ce petit blog,

en 2005 j'ai écris ce trente décembre : 'On verra bien ou ce calepin on-line va m'emporter'
ben voilà, par la.

Au départ je voulais parler ici un peu de cloche-merle, Aulnay la sous.

ça m'arrive encore, mais assez rarement.

Quoique j'aime bien traîner mes camarguaises à une expo, un match de boxe ou tout simplement épingler un baltringue local qui se la raconte un peu trop.

je reconnais, je me suis vite éparpillé, je suis un affreux dilettante. mais l'important dans la vie, c'est bien de ne jamais rien regretter, non ?

Tenez samedi, je sort mon vélo, pas question de prendre la voiture pour traverser le pont de la croix blanche, mon temps le week end est précieux.
je remonte le sud jusqu'à la passerelle.

Place Camélinat ,je laisse passer une voiture qui a priorité, et le conducteur à l'air surpris. Non, marcel tout les cyclistes ne sont pas des hells angels verts.

Mais il y a quand même quelques pirates qui s'autorisent des pistes cyclables virtuelles sur les trottoirs de sens interdits. Je le reconnais.

La passerelle. Bon je monte à pied désormais. Mais c'est pas l'interdiction aux vélos qui m'a stoppé.

je capture un B plus dans ma boite  et file vers la salle Gainville.

Mais si j'ai oublié, la malédiction, à première vue elle par contre, ne m'a pas oubliée.

j'ai  beau relire l'affiche plusieurs fois la porte reste fermée. pas même un petit post-it style je suis a l'école de musique pour un pt'i kawa, au lounge du soleil levant pour un poke, au tabac de l'église pour des tiges,au café vert pour un baby foot, voir à Ballanger me suis coupé avec le coupe ongle du porte clefs

Dal que.

Bon je me rappelle plus si je découpais ses photos au Alain dans best ou rock et folk. Après je les collaient partout dans ma soute. je ne revenais pas cher en papier peint. je me serai bien mis une petite line de nostalgie. tant pis.

je suis le maudit de Gainville. deux expos ratées mais une si jolie capturée.

no regrets.

Avant-dernier jour de l'année.

bonne anniversaire quand même petit blog

tiens un tube gras pour fêter ça

Là, c'est la trêve des confiseurs.

Veille de noël.

Là, c'est la trêve des confiseurs...

Enfin pas pour les confiseurs, hein ne vous méprenez pas. je vais leur casser leur stock aux marchands de douceurs.  

Chocolats blanc au sel, noir aux pistaches, rouge  aux piments, vert aux amandes je vais ravir de bonheur mon cholestérol.

En attendant une petite Tof, tiens.

Des vilaines langues ici ou la  jaspinent que les blogs n'ont plus rien à raconter.

Twitter l'instantané tuera-t-il les blogs ? on en recausera. car à cet endroit là, certains incultes ne le savent même pas :

Là, c'est trêve des confiseurs...

Donc, portrait du grand timonier de Noël dont l'historien est ici ou la (il y a deux courants en fait) 

je vous raconte comment c'est dangereux photographe du père noël dans le neuf cube ?

OK , pourtant,

Là, c'est trêve des confiseurs...

Samedi j'attendais le E à la gare de Bondy. de l'autre coté du quai, la bas, il y avait ce troquet avec ces jolis dessins. bien que ma vision soit basse, j'ai tout de suite calculé l'élégance et le style du trait sur cette représentation colorée de ce cher petit papa Nowel.

Vous avez vu comment je fayotte pour avoir mes cadeaux demain matin ?

je vous le dit Quinze ans de radiateurs au fond de la classe ça laisse des réflexes.

Bref le E c'est un peu mieux que le B, seulement 15 minutes d'attente. ni une, ni trois je ressort donc de la gare pour prendre ma photo.

je me poste bien devant la fenêtre et clic ,clac. ha non j'ai bougé. vi je commence à trembler, sauf quand je sabre. mais pas en ce moment, hein.

Là, c'est trêve des confiseurs.. .

je recommence. clic clac. je vérifie le résultat.

mais ? que me veulent ces trois armoires à glace qui déboulent du café ? 

A leur mine, me propulser sur Saturne, voir Orion

il y a la un flottement, comme dans ses films ou tout part au ralenti.

je vais vous mettre une peu de zik d'ambiance tiens.

j'explose de rire et leur lance en désignant du doigt Santa klaas

- et oui il est trop beau !!

ces loustics ont du penser que j'étais l'avant garde de la LPM. l'affaire ce termine donc :

Là, c'est trêve des confiseurs.

je repart à mon train.

vous croyez l'histoire terminée ? que néni !

les portes de sorties sont battantes zé automatiques, on ne valide pas son navigo. Du coup quand je veux repasser il me fait sa sonnerie naze et affiche son 'déjà validé'. pour information, le sous terrain de la gare de Bondy  est à visiter pour la  hauteur et la délicatesse architecturale de ses grilles.

je doit galoper de l'autre coté pour sauter en même temps qu'un quidam.

évidement je baisse un peu, avec le poids des ans.
Je me tue le tibia sur le tourniquet en retombant. je baptise de quelques noms d'oiseaux Saint Nicolas, Santa Klaus et la smala des livreurs de Docas.
Finalement je retrouve mon quai en claudiquant.

Toute cette aventure méritait bien une petite note non ?

Joyeux Noël à tous

Bérézina au pong

Autant ne pas vous le cacher. Je ne suis pas de la génération jeux vidéo. 
J'ai bien eu ce premier jeu avec deux manettes, quand il y avait trois chaines, le fameux noir et blanc pong.
Mais il ne fallait pas trop le mettre sur la TV. Il y avait une histoire que cela flinguait le tube. 
ha les rumeurs sur la matrice, même déjà avant le ternet.

Par la suite les écrans ont tant servis pour le travail, que j'ai toujours été peu patient pour les games. 
Alors qu'est ce qui m'a entraîné à cette jolie exposition de la cité des sciences sur les jeux vidéo?
Mon sniper de mousse pardi. 

J'aime bien les espaces et l'ambiance de ce lieu. 
L'exposition a plu. Je vous dévoile pas tout, il y a une séance de surf bluffante et vous vous pouvez vous relooker moult tenue de Mii en temps réel.
Pour les trentenaires et un peu plus vous retrouverez même toutes vos premières consoles. 
De quoi vous initier à la nostalgie. 
Moi j'ai découvert au plafond un concurrent pirate, assassin's creed et sur une console une jeune fille avec d'étrange pouvoir psychique.
Allez,ne le répétez pas,  je vous l'avoue,  j'ai pris une tannée à un moderne pong mécanique, lumineux et très couru.
Bon si le mauvais temps dure pendant vos congès, vous savez ou aller.

respirer, c'est gagné !

En fait au départ c'était pas prévu pour ici, mais un commentaire sur le blog de Nicolas qui à fait une note sur la pollution. Que je vous invite à lire fainéants de la rétine.
J'ai saisi mon laïus, mais cette cochonnerie de fonction blogger qui fait passer à la note précédente quand votre pouce ripe à gauche sur l'écran, par un sursaut des rails de la ligne K, m'a fait perdre ma prose.
VNER je fus.
Qu'a cela ne tienne pour un mec dont j'apprécie les blogs je peux recommencer. Mais la ligne K ça dépote c'est en alu et blindé, ça secoue.

Bon, vous arrivez à bon port dans les temps. (toute allusion au tortillard déprimant  tout aussi blindé de RER B ne sauraient être que fortuite)
Bref je perd de nouveau mon texte, deux fois c'est trop.
Je reprend donc mon commentaire ici ou il ne se perdra pas, voila :
La semaine passée au cœur du pic de pollution je remontai à velib la rue Lafayette avec mon masque respiratoire qui me fait une bonne tête de nœud de kéké. Mais je tousse moins le soir. 

si si. pas de casque mais un masque.
Je doublais allègrement ces mono-automobilistes immobiles et morose dans leur GROS diesels. Ceux dont le regard n'était pas perdu vers la ligne Maginot de l'UMP, me jetaient un regard mi amusé mi circonspect.
C'est à ce moment la que je me suis dit que pour réduire ce flot de solitaires désabusés un site institutionnel de co-voiturage urbain sur smartphone serait une idée complémentaire de la circulation alternée. Ceusses qui sont quatre à bord on le droit de circuler. mon idée est pas si con.  les conducteurs pourraient papoter, au lieu de se désocialiser sur leur téléphones. ça les détendraient.

c'est rare que j'ai une idée, peut être je l'ai lue et je me l'approprie, va savoir. ceux qui grugent seraient grillés par une vérification du flashcode et les grincheux solitaires goûteront aux joies des transports en commun.

En fait si vous avez besoin de votre voiture, vous n'êtes pas le seul .

voila pour le commentaire.

on peut développer si vous le souhaitez, abonnement mensuel pour les participants, parkings réservés etc.

ah ! ah ! je suis en forme pour un vendredi.

bon week end les loulous,ou vacances pour les chanceux. ne manquer pas la prochaine note d'Amy qui est annoncée pour le solciste d'hiver.

le fond de la cage

J'ai cru a un retour des spammeurs de boites aux lettres de QCBE. Mais non c'est déjà la campagne. Alors j'ai lu ce tract deux fois. 
ET ?
Rien, nada, que tchi, fmnup !
Pas une seule proposition. 
Ha ! Si, un systémique  dénigrement, sûrement de l'actuel premier magistrat de la commune,  qui masque vraiment mal le manque d'idées, je les surestime, d'intentions.
Bref le néant.
Et une litanie de 'c'est un maire' par ci et de  'c'est un maire' par la ânnonés comme ceux de l'autre nasillard Ara sur twitter.
Voila, tract top pointu, pas de danger que je risque de mouiller ma vareuse dans cette virée . je vais pas me fouler l'azerty contre cette bande de gros sabots cloutés de la belle au sous bois dormant.
Tout prêts qu'ils sont à l'assoupir de nouveau vingt cinq ans, notre belle ville.
Eux. pour certains à peine là, et qui la trouve sale. Pour moi, moins que sous leur ex-gestion. Et je leur parle pas des trous de trottoirs, ils se bouchent petit a petit depuis leur départ.il y avait tellement de retard.
Dans toute cette suite d’homélie de la même eau, Il y a juste un truc qui me chatouille, le 'c'est un maire qui agit pour la réussite scolaire des jeunes'. la franchement c'est pousser le bouchon un peu loin, Maurice.
Qui a agrandit et rénové les écoles, en a peine quatre ans hein ? 
Qui a réussi à concrétiser ce serpent de mer du septième collège, [TofDuJour] dont je pensais jamais voir le jour depuis toutes ces décennies d'immobilisme, hein ?
Avec l'appui d'un conseiller général sud, je vous le concède mes pt'i bleus.
Quand même, la désinformation élevée au rang de programme, elle est pointue la droite du coin. 
Des cadors du vent. FOOoo ça souffle. Par contre ça avance pas beaucoup le bouzin.
Ha oui on est à Aulnay-Sous, alors elle nous lâche du 'respectueuse' la décomplexée sûrement pour border les amateurs de bisounours. 
trop swag dirait le mousse. 
Mais moi je le trouve pas tant que ça respectueux ce torchon, juste bon pour le fond de la cage du mien de perroquet, hein jako. Celui la tu peux gratter tout ce que tu veux. Il te fera pas mal aux méninges.

La route du dimanche soir

En fait j'aime pas laisser des notes en une ou je suis en pétard.

elle reste toute la semaine et vu que je suis pas grand, on me prend pour grincheux. 

vous avez remarqué ?

aujourd'hui tout le monde est en colère.

c'est tellement facile. moi aussi je suis en rogne.

trop de choses filent pas comme je veux. tellement, un exemple ?

Tiens, l'ordi du mousse barre en vrille après un an, comme quoi soit disant la version de Windows n'est pas originale alors que j'ai payé cette daube plein pot. Et dimanche soir la validation du fameux code 'original' ne fonctionne pas en ligne.

Tout ça parce que, dixit le bosco, lui mettre un logiciel libre, c'est pas l'avantager pour l'école.

bon... je parlerais pas plus de l'école aujourd'hui.

vu que je suis en pétard qu'ils n'aient pas tous une tenue uniforme pour niquer les marques, ces gangrènes de l'esprit qui déjà les séparent par le pognon.

bref tonight presque je bave de haine comme ce parti dont c'est l'unique et bien triste rime.

alors dans ces cas la y a pas trente six solutions.

un livre ou la musique.

Elle adoucit même les mœurs des pirates.

un petit morceau du dimanche soir.
allez, on va avoir une semaine ensoleillée, faut bien l’appâter l'astre.
Pis ça va vous faire le plus grand bien de rouler à gauche
mais freinez quand même a 5:47  ;.)

Treize en colère

Vendredi treize.
On me réveille pour ce fail
pour bousculer la tour de veille
Oui, ce rempart du conseil constitutionnel
Qui se bouge pour cet article treize

il y en a-t-il un seul,en bas  IRL, assez balèze ?

Vendredi treize.
Crypter vos mels
Offrez un vpn à votre chapelle
Avant l'obscurité, parlez vous à l'oreille
Tafez la clandestinité, si belle et rebelle
entrainez vous avant d'être enfermée, ma vieille

Vendredi treize
allez j’arrête la mon fiel
il y en a tant de vrais problèmes pour ceux qui sont à la peine.
inutile d'insister avec ma pauvre ritournelle
Tiens, ne reste qu'un isoloir sans qu'on vous surveille.

Quatre cent Quatre

Voila voila. pas trop tôt.
Chassez le naturel il revient au galop.
je me trouve bien trop dans la lumière,
pour un hiver.
pis trop teen ager, ridicule
pour le crépuscule.

quatre cent quatre

j'ai mis ma côte, rangé le portable et le chocolat.
je vais transpirer, couper du petit bois,
cette semaine je sent l'arrivée du froid.
vérifier la pompe des coïs.
pis comme tout les boys
vais finir au Sausset avec le barzoï

Allez , une dernière vibe 

pour la route mes canailles
gardez vous de l'hiver
et des commentaires

quatre cent quatre

baille-scie-colle war

Je ne peux pas laisser indéfiniment ma réclame pour les malheureux en tête de gondole, je suis donc passé vous causer spad.
baille-scie-colle comme disent les angliches.

Comme si, avec cette jolie période et l'agressivité ambiante faire du vélo devenait une marque de résistance.
So hipster.

je respecte le code de la route, je le dit tout de suite en préambule.

point com , misère.

J'en suis encore à me demander pourquoi cette pub a été excentrée si loin sur le quai.
Un peu comme la discrète misère, camouflée, mais de plus en plus répandue, silencieuse et cachée peut être même au bout de votre rue. Certains par ici, sûrement aveuglés dans leurs SUV aux vitres fumées, ne la découvre qu'en bignolant les polycopiés de www.clochemerle.com

point com.
si, si.
Un exemple ? tiens,  cette vielle dame, dont nous dirons pudiquement qu'elle est de retour de sa maraude à DLUO. Je la croise certains petits matins, quand je dézone pendant que Buck salue les platanes dans les rues encore assoupies. 

Ce sud soit disant si bobo zé rupin.
Elle qui godille sous le crachin avec peine, son vélo chargé de cet énorme sac, dans l'aube luisante de pluie. Joli coup de pédale pour une dame qui a passée soixante quinze printemps.
Juste le bruit de sa dynamo et ce petit halo jaune louvoyant.
Y a plus que cette luciole qui utilise encore une dynamo sur la rue Jean-Jaurès vers cette heure la.
Alors voilà, pour elle et tout les autres, je met modestement en avant l'affiche.
Ce n'aura peut être pas beaucoup d'utilité. 

Mais ce blog sombre un peu depuis un moment, vilaine voie d'eau et j'ai la flemme d'écoper.
Si cela n' interpelle qu'un(e) étourdi(e), ce sera déjà presque gagné. c'est mon truc ça je le sort à chaque fois.
Vous savez pas quoi prendre ?  achetez des petits pots bébé. Le bosco dans ce genre de rata prend toujours ces machins. Oui je sais , hélas, il en faut aussi...

Allez y, un sac plastique un truc. Deux . trois.

Oui ,le vendredi 29 ou le samedi 30 novembre, n'oubliez pas 

DONNEZ !

Et un an à la mer, Un !

Celle la elle est trop bonne.
Faut que je vous la raconte. Figurez vous que ce petit jeudi déjà froid de novembre, je viens de perdre une année.
Oui j' ai bien dit perdre.
Comment ? N'allez pas penser que j'ai dégotté la fontaine de jouvence planquée derrière mon stock de chaussettes orphelines.
Non.
Ni non plus des chaussettes appareillées ce jour d'ailleurs.
Une bleu et une noire. Ca ira pour un jeudi.
Mais alors ? Un sortilège de bouche dorée ? Un filtre d'amour du bosco ?
La faille temporelle de la sente du berger ?
Tsss ... rien de tout ça.
Le quidam lambda, il prend une année par an. Mais moi qui suit du genre perché, plus souvent accroché les yeux vers le ciel, a déchiffrer le message d'un cumulus ou la malédiction d'un vol de corneilles, privilège des cancres qui très tôt regarde le ciel plutôt que le tableau, et bien non.
Ça va en poussez quelques un a s'élever le regard, ça.
Arrêtez de siffler a tort et à travers, ou  de lire ce torche cul de minute pour croire qu'ils vont en gagner une ou deux.
Et je parle pas de ceux qui finiront vampire a force psalmodier ce sorcier sombre de soral.
Mais je vous vois déjà fatigué, ok .
Je lâche l' affaire.
Et bien l'année dernière ou la précédente,  j'ai mangé un an.  Si le mousse ne m'avait pas posé une soustraction sur ce papier à grand carreau bleu, j'aurai continuer à me blanchir et trainer la patte comme mon affreux et célèbre homonyme ce vieux forban de Long John Silver. en fait y a que le mur qu'a pas pris une ride, et la tarte aux mirabelles :,)
Oui je sais ,la exceptionnellement je vous autorise en coeur  :
Ha kilékon !!! Mèee kilékon !

Mon soleil de la saint martin

Bon j'avais décidé de pas poster aujourd'hui.

Je trouve que je répand trop my  life dernièrement. Ma reum et le mousse se plaignent d'ailleurs de mes fautes et de mes mots zeinkonpréhancibles.

De plus j'ai eu un week end studieux avec des vieux quinquagénaires natifs du coin.
Mais bon, comme tout les onze novembre il a fait beau.
C'est rare qu'il pleuve quand même.
Bref je venais de déposer mes potos de point break sur le départ gare Montparnasse avec une caisse de corona et des sandwichs zonmè. 

En ressortant je suis passé à coté de ce monument. il colle pas avec le onze novembre, Quoique, il  y avait la liste si longue de tout ceux qui sont mort pour la France au coté de ce grand général.

pis Il y avait un soleil d'été de la saint Martin.

je me suis garé sur le zébré pour capturer mon image. je pensais pas m'en servir, mais soleil égal #tofdujour.

A peine une heure plus tard en promenant buck j'ai lu la note de CC et tout les commentaires qui commençaient à arriver sur twitter pour banaliser ce geste 'exaspération' 'provocation' etc etc...

un onze novembre.

j'ai pensé à tout ces garçons dont je venais de parcourir les noms sur le monument. mon regard s’arrêtant à peine sur un nom,ou un prénom...

une vie 

siffler un onze novembre.

Et des ignorants qui se gaussent, voire qui tentent de défendre.

Dire que je suis en colère n'est pas approprié.

je me demande si je vais pas arrêté ce blog. passez à des choses plus... constructives.

des cours de patriotisme pour les demeurés, par exemple.

Pis j'ai vu ce petit jeune homme propre sur lui qui tenait tête à ces limités dans la lucarne.

Mon soleil de la saint martin.

Et d'un seul coup je me suis senti moins seul, il n'y a donc pas que des vieux botoxés avec un bonnet rouge et du zeph cramoisi sous le crane.

je retire mon galure devant ce garçon.

je ne suis pas sûr que j'aurai agit avec tant de sang froid devant une telle soue.

Bon j'avais décidé de pas poster aujourd'hui.

mais il y a des choses qu'on ne peut pas faire comme,

siffler un onze novembre.

Instants magiques

vite fait.
dans la vie il y a des petits moments magiques.
hier soir en fut un. un stade de France plein à craquer, des marseillaises à ce casser la voix.
Et une équipe qui c'est très joliment battue avec panache et jusqu'au bout face à ces redoutables All Black.
Quel ambiance et bon esprit ce rugby.
ce matin je résonne encore, allez deux notes dans la journée , et un bonus avant d'aller régaler les treize soiffards qui ont envahis le bord.
bon dimanche les amis.
voici le Ahka. Et je vous déconseille de croiser le N°12 ;.)

Veille d'armistice

Vous avez vu ce temps ! Vous vous imaginez dans la gadoue, le froid, la fureur et les poux depuis quatre ans ?
Veille d'armistice. 
La fin de cette première guerre mondiale qui a si bien laminée l'Europe et ses hommes, qu'elle ne s'en est jamais vraiment remise.
vous avez vu tout les ans j'y reviens, pourquoi ?
D'abord parce que la der des der, cette guerre quand même un peu 'capitaliste' est est bien l'origine de nos soucis. Peut être aussi parce qu'une de mes grand mères, qui avait vécue les deux, parlait plus de celle la. 
'Les colonnes entières de jeunes gens, des canadiens il me semble, d'à peine vingt ans se vidant de leurs vies à même le talus et les fossés à cause des gaz.'

Changer le lieu elle reste presque actuelle non ?
Il me reste quelques phrases et le souvenir de cette photo lunaire du plateau de Californie dévasté affichée dans un angle de sa salle à manger 
cette année j'ai choisi ce joli faux bleuet du Sausset en hommage . c'est un coutume patriotique de nos alliés d'Albion que je trouve très jolie. Chez eux ce jour tout le monde le porte à la boutonnière. 

Ze classe.
je suis content que les bruits récurrents qui parlaient de supprimer cette date ou au moins de l'unifier avec une grande commémoration de toutes les guerres ce soit assoupis.

je n'étais pas pour. je sais je radote, mais les vieux c'est fait pour ça :.)

retour de  la mémoire.

Sinon cette année il y a aussi, une grande collecte des documents privés sur ce sujet. On approche du centenaire lancé en grande pompe ces jours ci. 

Les cartes postales de l'arrière grand père, corps francs, parlant des ombres perdues des déserteurs iront par une autre voie dès que je remet la main dessus. c'est pas bien rangé à bord.
la ,j'ai choisi moi le diplôme de 1917 d'une petite fille à qui il écrivait cet aïeul depuis le front , pour savoir si elle faisait des progrès en anglais justement.

Parce qu'il faudra essayer de finir de reconstruire, et autre chose que cette technocratique Europe orientée business dont on nous a bombardé.

voila. 

veille d'armistice. Vous vous imaginez dans la gadoue, le froid, la fureur et les poux depuis quatre ans ?

l'histoire du Z

Hier sur twitter, qui baisse, on m'a balancé du troll de gauche .
Tout ça parce que sur aulnay, en abandonnant tout savoir vivre, la fin justifiant certainement les moyens ,les loups d'en face se mangent entre eux.
 yep, on est bien en 2013.
Troll degôche. 
ça,quand même cela m'a plu . c'est difficile à porter ces derniers temps et j'adore la difficulté.
Justement je me suis dit tiens je vais troller un peu, enfin radoter ce qui revient au même et est plus dans ma fourchette d'âge.
N'est-il pas ? il semble que l'âge soit désormais un vecteur primordial sur les municipales d'Aulnay-sous-bois. bien avant le programme, inconnu chez certains, l'implication dans la vie locale ou même simplement les idées.
Voila une crise de jeunisme qui va ravir les nombreux juvéniles électeurs de Nonneville à Chanteloup. mais je m'égare, je suis pas passé ce matin pour ça.
Souvent les gens collent une étiquette au neuf trois  'les barbares habitaient dans les angles tranchants des cités exilées au large du buziness' comme chantait Lavilliers.mais ça, c'était il y a trente ans.les choses ont grandement évoluées.je dis ça pour ceux qui sont arrivés entre temps.
les clichés sont éculés, à part peut être pour un ou deux has been qui survivent de la reproduction de faits divers pas pire qu'ailleurs.
Car c'est sûr certains sont restés accrochés sur une de ces images obsolètes du département.il y a même un certain candidat démago, pourtant natif 93100 qui trimballe encore cet épouvantail,
il doit certainement passer plus de temps sur Paname que dans notre contrée.
ils y en a même ailleurs qui en véhicule une certaine vilaine d'image, je vous conseille cet article sur LA rumeur du 9-3. 
c'est d'ailleurs un peu ce qui m'amène aujourd'hui.
Quand je l'ai lu je me suis dit : mais oui ! quel bordel ils auraient fait si dix kékés de téci avaient brulés cette saleté de radar de Rosny hein ? qui va payer ?
Non, la c'est pas pareil.
Eux, ils imposent des portiques à gabelle par une société privée qui se prend une gratte de vingt pour cent sur les recettes, 20 % ,la mafia du 93 devrait y faire un stage en entreprise, ça c'est du rendement
Puis comme ils ne sont plus aux affaires,les font brûler par leurs serfs en les coiffant d'un cagoule bonnet rouge pour le visuel marketing.
trop fort.
M'est revenu mon pote Riton qu'était pas un sang bleu d'Aulnaysien mais de la province, la bas vers Blanc-mesnil . 
Un jour il m'a dit quand on étaient encore à étudier Voltaire {#privatejoke} à Eugène Delacroix. Ze Bahut
- Quand tu sort du quatre vingt treize, qu'importe ta couleur, ton intelligence, ta force ou même ton humour, partout ou tu iras les gens ne verront que le grand Z dans ton dos.
Quarante piges ont passées et la phrase m'est revenue en lisant l'article sur la rumeur.
je suis très heureux d'être un troll degôche. je sens que la campagne 2014 va être bien sale, les bulles qui remontent du cloaque de droite ne reniflent rien de bon.
mais c'est mon #jeudiconfession, je ne m'abaisserai pas à leur  taper,  moi, sous la ceinture à ces limités.

Marotte de blues

D'année en année c'est devenue une marotte.

prendre une petite tof de l'affiche du festival blues et la mettre sur ce blog.
after midnight of course

je vous présente pas cet événement. Nominé deux fois en Amérique aux states et tout le toutim. il faut pas trop l'ébruiter sinon tout les parisiens vont rappliquer.

une très jolie réussite. si vous n'avez jamais mis les pieds au CAP, c'est l'occase.

LA salle magique d'Aulnay-sous-bois.

c'est amusant, cette année il y a un tribute au grand Muddy Waters que j'avais justement mis dans ma première note sur ce sujet.

mais la, pour 2013, le morceau que je vais vous sortir, j'ai choisi JJ.Cale parti cette année et qui mérite bien un petit clin d’œil ici. 

D'ailleurs on retrouve Mossieur Clapton, déjà dans la première note lui aussi avec Muddy, toujours dans les bons coups. 
Et puis comment parler de blues sans citer Slowhand.

on reste dans le sujet ;.)

Chutes de pierres

Voyez comment une chose en entraine une autre. Je trouve que je vire pisse d’âne ces jours ci.

Désolé. sortez moi de vos blogrolls.

On va dire que c'est la faute au rock'n roll animal.
Ou plutôt à sa disparition.

Vous pensiez peut être que j'allais me contenter d'un morceau de l'album Berlin balancé en fin d'une note un peu naze du dimanche soir.
Impossible à priori. 

C'est comme si on l'avait balancé du haut de mes souvenirs avec les pieds pris dans une de ces bassines en zinc remplie de ciment prompt, le poète en Ray-ban.
Ça à fait PLOC !

Et tout les sédiments de mes dix huit ans ont troublés ma vue.

j'ai du attendre que ça se repose.
Vous savez comment quelques fois vos souvenirs débarquent des profondeurs de l'oubli.

Pour un refrain,un parfum, un arbre ou... un feu rouge.
Lou Reed .
Je  vous ferais pas de nécro. ni tenter de l'encenser.

Attendre qu'une pointure soit cannée pour en dire du bien, c'est pas possible à bord.Non, Un feu rouge tiens.

Je revenais donc de la sortie de ce demeuré de chien. Oui je sais tel chien...Ne nous égarons pas.

Quand je sort du Sausset souvent je coupe par le Cap et le Galion.
Mais la je suis passé devant l'usine.

Bignoler.

Puis à gauche au rond point sans nom j'enfile l'avenue braque, comme celui qui gribouille ici.

C'est arrivé au rond point de l'Europe.

Le même feu.
Et bam vous prenez une torgnole de nostalgie à dévorer une semi de Lindt.

Je peux même presque dire l'année, soixante quinze ou seize. Il me semble qu'ils l'ont changé. Il était plus moche le tricolore, l'était vert.

On revenaient d'une toile à Parinord. y avait pas encore de O mais y avait déjà un cinéma :.)

Je pense que c'était un Monty python. 

Bryan is dans la kitchen. Ou un truc du genre.

Riton le quem aux yeux cristal était au volant de la R16 empruntée à ces vieux.

Il y avait quelque chose de nonchalant dans la façon dont il passait les vitesses au volant. tout juste le permis mais distingué, presque aristocratique.
A coté il y avait Daniel dont on ne captait que sa crinière bouclée retombant à mi-épaule.
Derrière on était entassés à je ne sais plus exactement combien. Trouver un caisse pour bouger n'était pas si évident qu'aujourd'hui.
La radio était éteinte. la radio ne passait des trucs bien que passé 23h.

Tout le monde était silencieux, encore un peu dans le film. Moustik somnolait et Snoopy cherchait désespérément un hypothétique carton dans l'accoudoir central.

Ça devenait lourd ce feu.

Phil a enfoncé la cassette.
- ha ce lou reed , j'adore l'intro de standing in a corner
Le son a rempli la voiture mais sans sortir moustik de sa léthargie.
- bof l'a repris daniel. Je préfère sa période velvet. C'est devenu limite commercial, pis ce son lourd non. T'aurai pas Nico ou le 801 live, ou son dernier, coney island ?
Le feu est passé au vert.
- non, pas en cassette. Mais écoute ça. Attend j'avance la bande, cet album est une bombe.

- vas y démarre plutôt, c'est vert.

la Renault a pris à droite vers l'abreuvoir des tilleuls. la prise de tête sur quel était le meilleur album de l'artiste a duré tout le long du chemin...

c'est chiant ces chutes de pierres.

d'un autre coté il en reste plus beaucoup. je vois bien le ciel maintenant.

Pause , Dèj...ou Angkor ?

ça fait un moment que je vous ai pas bassiné avec mes pauses déjeuner. mais je tiens a retrouver un semblant de ligne et rien de tel qu'une séance de vélib le midi.
Donc me voila barré vers le musée Guimet . cette exposition sur Angkor , 'naissance d'un mythe' m'attire comme une vilaine mouche bleue sur un pot de miel.
Difficile de dire d'ou me vient cette curiosité pour ce temple. sûrement de mes lectures d'ado.  Ce terrible Malraux et sa voie royale y sont sûrement pour quelque chose.  Mais je n'ai pas que lui comme source il y a aussi ce film en noir & blanc ou il pleut tout le temps.
Si si, ce réalisateur qui a fait dernièrement un si joli film ou il apprenait à voler à des oies.
je remet pas son nom.
#pitan

Plus jeune j'ai même cru à un coup de métempsycose. mais vu mon karma je pense désormais que j'aurai plutôt réapparu en bug à neunoeils de mouche, voir en troll  ;.)
Donc me voila dans ce musée. ci vous aimez Angkor, ou que vous êtes curieux,  je vous conseille cette sortie.

c'est assez bluffant, il y même des photos du 19 ème sur plaque de verre.
des trésors de statues, objets et moulages de toutes beautés, moult gravures et vues d'époques bref de quoi sécher l'après midi.
mais je suis un adulte responsable, je suis retourné au chagrin.

    j'aurai pu vous collez une tonne de photos. mais je vous en laisse un peu 

yep. bonne semaine

ha ! j'allais oublié la zik. sûr que lui aussi il est peu dans le buzz qui m'a influencé sur ce lieu.

Pas d'orchidées pour le pirate

Quatre remarques plus que sympa sur ce blog d'un coup. si je m'attendais

Et pas que par une charmante inconnue.

Non, non. une pointure, un local, et même une référence nationale.

Pour un machin rempli de fautes, de trous de ponctuation, d'absence de compléments, voir d'objet.

bref comment dire.

C'est grave comme pression. limite flippant.

j'ai toujours du mal avec ce carnet. En fait plus les notes passent, plus j'ai de lecteurs, et plus j'hésite à écrire.

je jette, je griffonne, je recopie mes brouillons,je fais des boules de papier. ça finit dans le feu.

j'avais pas prévu ça.

j'ai toujours été dilettante. du plus loin que je me souvienne. Remarque à Aulnay-sous-bois pour ma génération ça put être une qualité. Ce n'est pas mes potos absents qui diront le contraire.

En fait rien ne me retient.

Comme tout les ex cancres du Parc, je préfère que l'on me chambre, par exemple sur mes tofs. 'attention petit louis va prendre des photos' ai je pu lire hier sur twitter. 

yep ça c'est mignon tout plein. 

Mais puisque la mode est au revival, Du si joli  temps d'avant que les élèves du CE1 ne mettaient pas leurs doigts dans le nez et attendaient que le prof est le dos tourné pour se fracasser à coup de règle en fer ou au fleuret mauve sergent major. Ha les charmants bambins d'antan.
yep je vous ai sorti le mien de cahier à la plume.
c'est pas brillant, mais c'est pas celui du voisin.

Vous voyez pour les pleins j'étais déjà moins doué que pour les déliés, comment j'ai été réac à l'arrivée du stylo bille. je vous dit pas. ne plus remplir les encriers. c'est sans passé le progrès.

Quand aux chiffres en regardant le cahier, je comprend que je soit presque une exception à râler sur le ridicule de l'abandon de la justice fiscale des 15 pour cent sur les PEA.

Donc même avec les chiffres j'ai toujours été dilettante.

Ou alors peut être que je devrai songer à m'engager.vu ce que j'ai capté sur France 3 ce midi, le mal se prépare avec délectation à mettre une raclée au démocrates, qui en sont encore à le diaboliser avec des arguments à base de jus de navets. ce qui n'a aucun effet.

Aux Européennes. hein, les municipales ne sont qu'un saute mouton, comme on en faisaient dans la cour ,un entrainement pour eux.

ils visent la Grande Europe, mais pas comme on la voit.ha ça non.

Oui peut être que la, il faudra que j’arrête d'être dilettante, même si je suis a l'automne et que je préférerai avoir du temps pour mes aquarelles.

Que l'on s'arrache, c'est pas comme mes photos ;.)

A propos de fleurs, arrêtez les vôtres, c'est un navire de guerre, ici, l'équipage perd sa concentration.

Et puisque souvent on finit ici en zik et que ce grand poète est parti du coté si froid aujourd'hui