Avant-dernier jour de l'année.
Pile l'anniversaire de ce petit blog.
En 2005 j'ai écris ce Trente Décembre : 'On verra bien ou ce calepin on-line va m'emporter'
ben voila, par la.
J'avais bien remarqué, je me croyais juste cossard. Appelez l'ascenseur du cinquième pour monter au second.
Ou s'inventer une excuse pour ne pas prendre un vélib le soir pour remonter gare du nord.
Voir s'arrêter à la douzième marche pour reprendre mon souffle
Se dire mince je fatigue.
Et puis un jour ou on a autre chose à faire, mais ou on navigue dans ses eaux territoriales, passer saluer un vieux marsouin de copain dans son échoppe d'arrière cour parisienne.
Un de ceux avec qui les troisième mi-temps de horse-ball duraient jusqu'au matin et les sorties actions remplissaient toujours leur quinze pour cent de casse.
Le noyau dur.
Le kling de la sonnette, le fait se retourner. La mâchoire carrée est un peu empâtée, mais l’œil semble toujours rapide chez ce vieux briscard, car en me voyant il a glissé la main sous son comptoir.
- Monsieur ?... O_oh merde j'ai failli pas te reconnaitre
La phrase qui tue.
Sourire, tourner la tête vers la cour et apercevoir cet inconnu avec cette ridicule barbe de cinq jours poivre et sel dans le reflet de la vitrine.
Papoter cinq minutes puis filer à l'arrivée d'un sauveur de client.
Il a pas raté sa cible. Pas pour rien qu'il était dans les avants.
Voila c'est comme un poids la, maintenant.
Un truc qui me fait depuis éviter tout les miroirs .
On est trahis que par les siens. non ?
Avant-dernier jour de l'année.
ben voila, par la.
J'avais bien remarqué, je me croyais juste cossard. Appelez l'ascenseur du cinquième pour monter au second.
Ou s'inventer une excuse pour ne pas prendre un vélib le soir pour remonter gare du nord.
Voir s'arrêter à la douzième marche pour reprendre mon souffle
Se dire mince je fatigue.
Et puis un jour ou on a autre chose à faire, mais ou on navigue dans ses eaux territoriales, passer saluer un vieux marsouin de copain dans son échoppe d'arrière cour parisienne.
Un de ceux avec qui les troisième mi-temps de horse-ball duraient jusqu'au matin et les sorties actions remplissaient toujours leur quinze pour cent de casse.
Le noyau dur.
Le kling de la sonnette, le fait se retourner. La mâchoire carrée est un peu empâtée, mais l’œil semble toujours rapide chez ce vieux briscard, car en me voyant il a glissé la main sous son comptoir.
- Monsieur ?... O_oh merde j'ai failli pas te reconnaitre
La phrase qui tue.
Sourire, tourner la tête vers la cour et apercevoir cet inconnu avec cette ridicule barbe de cinq jours poivre et sel dans le reflet de la vitrine.
Papoter cinq minutes puis filer à l'arrivée d'un sauveur de client.
Il a pas raté sa cible. Pas pour rien qu'il était dans les avants.
Voila c'est comme un poids la, maintenant.
Un truc qui me fait depuis éviter tout les miroirs .
On est trahis que par les siens. non ?
tu vois comme toi, moi aussi je fatigue.
bon anniversaire petit blog.
bon anniversaire petit blog.
Tiens un tube aérien
"Joyeux Anniversaire blog pirate"
RépondreSupprimermerci. pirate un jour , la suite est facile à deviner. bon le bateau prend un peu l'eau, mais il reste redoutablement aiguisé ;.)
Supprimer....et son taulier....
RépondreSupprimerTaulier , c'est trop cool en fait. Avoir son coin ou on dit ce que l'on veut c'est quand même tempête non ?
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