Et un an à la mer, Un !

Celle la elle est trop bonne.
Faut que je vous la raconte. Figurez vous que ce petit jeudi déjà froid de novembre, je viens de perdre une année.
Oui j' ai bien dit perdre.
Comment ? N'allez pas penser que j'ai dégotté la fontaine de jouvence planquée derrière mon stock de chaussettes orphelines.
Non.
Ni non plus des chaussettes appareillées ce jour d'ailleurs.
Une bleu et une noire. Ca ira pour un jeudi.
Mais alors ? Un sortilège de bouche dorée ? Un filtre d'amour du bosco ?
La faille temporelle de la sente du berger ?
Tsss ... rien de tout ça.
Le quidam lambda, il prend une année par an. Mais moi qui suit du genre perché, plus souvent accroché les yeux vers le ciel, a déchiffrer le message d'un cumulus ou la malédiction d'un vol de corneilles, privilège des cancres qui très tôt regarde le ciel plutôt que le tableau, et bien non.
Ça va en poussez quelques un a s'élever le regard, ça.
Arrêtez de siffler a tort et à travers, ou  de lire ce torche cul de minute pour croire qu'ils vont en gagner une ou deux.
Et je parle pas de ceux qui finiront vampire a force psalmodier ce sorcier sombre de soral.
Mais je vous vois déjà fatigué, ok .
Je lâche l' affaire.
Et bien l'année dernière ou la précédente,  j'ai mangé un an.  Si le mousse ne m'avait pas posé une soustraction sur ce papier à grand carreau bleu, j'aurai continuer à me blanchir et trainer la patte comme mon affreux et célèbre homonyme ce vieux forban de Long John Silver. en fait y a que le mur qu'a pas pris une ride, et la tarte aux mirabelles :,)
Oui je sais ,la exceptionnellement je vous autorise en coeur  :
Ha kilékon !!! Mèee kilékon !