Celui la était couru. une vraie blogging expo.
Mais la, je pédalais sec, le tant attendu soleil de juin basculant du coté des bretons . Déjà l'ombre galopait sur le muret des clotures de ma banlieue.
En passant devant le dernier carré je me suis arrêté pour la photo.
Et oui à ma connaissance c'est le dernier champ de seigle du coin.
j'ai beau naviguer avec mon spad au hasard des zones trente ou des furieux enfer-raillés grognons me font sans cesse des appels de phares, je me demande bien pourquoi d'ailleurs, mais reprenons, je n'en connais pas d'autre.
Et celui-ci est une énigme
En premier la dimension des plantes , un bon mètre cinquante.
mais peut être n'est ce pas du seigle, je suis pas des champs. je n'ai croisé dans ma trajectoire que des belles plantes de banlieues. c'était bien [smiley].
je m'égare.
En tous cas c'est un vieux mystère car je l'ai toujours connue pousser dans ce carré, cette bizarre herbe à matous. Et je ne date pas de la dernière pluie.
Accolé à une maison de caractère pierre et bois. comme on en croise dans l'est, plus loin vers les plaines. oui loin la-bas.
Ma bignolerie est grave asticotée par ce mystérieux herbier .
je suis donc à votre écoute sur l'utilisation de cette graminée.
je précise qu'il n'y a pas de poulailler visible.
Du pain ?
De la bière comme celle que faisait ma nounou avenue de l'Aulnaysienne dans sa bizarre lessiveuse en galva à thermomètre flottant ?
quand je vois qu'on met désormais les nounous sous webcam, je me gausse.
Ou tiens, du Rataf ? wódka żubr pod trawa d'Aulnay .
ça, ça ce serait une belle histoire et ce serait assez rigolo.
bon puisque je cause pays , je vous précise que le talentueux Raoul Paz donne un concert vendredi au CAP c'est tout écrit sur l'affiche 12 € je vous conseille de réserver, et si vous ne connaissez pas LA SALLE avec le meilleur son du neuf trois, c'est l'occase
et comme j'aime bien ce monsieur et finir en musique hop 20h30 les loulous...
Super jolie note, passant du Kdb à l'herbe à vodka ... un peu déjantée comme on les aime bien.
RépondreSupprimerBz
Merci pour l’encouragement, effectivement j’ai décidé de me lâcher un peu.
Supprimerc’est presque l’été non ? En fait j’ai un peu de mal a me lancer, les doutes, #toutça ,mais après mon petit vélo roule tout seul :.))
Si à tout hasard, nous avions des pommiers pour faire du cidre dans le coin, ce seigle servirait à la pilerie. Mais là déjà je m'éloigne.
RépondreSupprimerC'est le lopin de terre le plus curieux qu'il m'est arrivé de croiser sur nos terres. D'ailleurs, le cultivateur de ces lieux doit être encore plus noctambule que moi-même: jamais vu.
Ha toi aussi cela t’intrigue ? je ne suis donc pas si déglingué que ça.
SupprimerDes pommiers ? il y en avait beaucoup dans le coin. mais ils ont été remplacés par des arbres tendances catalogues dans la plupart des jardins.
il en reste, je connais un Canada en espalier de plus de cent ans à deux rues de la.
Mais effectivement je n’ai pas souvenir d’avoir croisé ce discret cultivateur.
bigre ! le mystère s’épaissit ...
Beau billet !
RépondreSupprimerMerci, en fait,après avoir rencontré tout ces vrais blogueurs au kdb, je me suis dit je vais me remettre à gribouiller ;.)
SupprimerAu boulot !
SupprimerEs-tu sûr que rien ne pousse entre les épis ?
RépondreSupprimercrois moi les vieux pirates savent reconnaitre un pied de plante à cordages. mais cela a disparu du Sud profond depuis la fin des séventies.
SupprimerDésormais y a que le compteur EDF de certains entrepôts qui trahissent ce genre de culture o_O
non, non, la que du bio local.