un petit val qui mousse de rayons

Puisqu’on est dans les habitudes, j’en ai d’autres. 
celle de mettre en ligne mes captures du bestiaire du quatre vingt treize six cent,par exemple.
Avant qu’elles ne soient devenues des stars, les perruches d’Aulnay sous, pis le niglo, les cignes de l'Ourcq ou sur la frontière, le redouté roi des grenouilles.
Aujourd’hui juste avant l’arrivée des grands froids, c’est le départ des oies dont je vais vous causer.. Pas les  blanches sédentaires qui caquettent dans l’axe de la rue jean Jaurès pour la moindre canalisation coupée ou toute nouvelle construction de logements.
le jeu de l'oie ne fait-il pas que boucler ?
Aucun intérêt pour ces volatiles qui s’la pètent comme si elle gardaient le capitole . 
Non la il s’agit de Bernache ou cols noirs, qui se sont posées dans la verte vallée du parc à Robert .

A notre arrivée ce samedi,elles se régalaient de l’herbe grasse du vallon, et en ce dimanche 11 ou j'écris , je ne peux que visualiser dans ce trou de verdure celui du dormeur du val . 
Mais elles ont vite mis les bouts vers la sûreté du plan d’eau en apercevant la silhouette de ce barjot de buck.
un groupe c’est envolé. Au départ j’étais ‘monté’ pour profiter des couleurs d’automne,
mais finalement il faisait gris et ça pleuviotait.
Je me suis donc arrêté à la chouette. mais l'immense Parking vide de l'automne de l'usine me colle un peu le bourdon.

Alors je décide de faire le grand tour.
bigre ,mes chaussettes sont imbibées d’eau dans mes trop basses runner.
cependant j’apprécie particulièrement le calme du parc ce matin. comme les bécasses, à l’abri des chasseurs. pis la vue est dégagée sur l'automne.

Tiens LA plante miraculeuse.  je reviendrai bien la couper à la lune rousse, mais elle sera peut être plus utile ici intacte ? no say
hop une dernière et je file...

bonne semaine à tous