25 octobre, 2012

A la saint Crépin


 25 octobre 2012 - Saint Crépin. Est ce lui qui protège leur logement ? en tous cas c’est mon premier cliché de ce petit matin déjà frileux.
Au lieu de traîner mon sirop de la rue, j’aurais du suivre plus sérieusement mon fil twitter.
Un poke chébran de l'aube  m'annonçant que des places pour un concert surprise des Stones se libérait à 15 €
J'eusse mieux fait de traîner mes saintes galoches du jour devant le virgin des champs, tiens. 
Vingt minutes too late. 
j’ai même écouté RTL pour tenter de gagner un place, je me demande depuis combien de décennies j’avais pas entendu cette Radio.si si, il y avait un transistor à la campagne, avec de grosses piles rondes, il crachotait des freus tout le temps, mais la nuit il y avait cette émission le seul moment ou la variété reculait et alors ,,,

Basta trop tard la aussi.
“You can always get what you want’  je vais hanter les abords de Mogador Lundi

Un peu dègue, je décidai à midi un petit run vélib anti-blues.
Avec ce soleil d’automne Paris est lumineux,mais  bondé de touristes.

Mais à la Saint Crépin. les mouches voient leur fin
sûr.
la viande est un métier.

Voila j’avais emprunté l’appareil du mousse, pour une photo de la grêve; mais  le RER B n”a jamais aussi bien roulé.
Rien ne va plus.En fait la dernière photo sera ce détail de Michel Angelo 2020 à la poitrine fort opulente. 

Avec en arrière plan en ce machin ailé, décidément , please to meet you

19 octobre, 2012

l'automne à Hollywood

Inside
J’écris plus ici.
Vous vous êtes dit, il fait comme les pointures, il jette l’éponge.
Ou alors il tente d’échapper au Honeypot à FAF .
Peut être même que il est bloqué chez Google,comme sur la #tofdujour, à la recherche de ses données personnelles.
Rien de tout ça les amis. si vous suivez les commentaires que je laisse sur un blog ou deux, vous avez sûrement remarqué.
je suis largué.
En cet automne de fin du monde. je suis atteint d’une boulimie de daiquiris lectures.
j’ai pas lu le dernier Iboux, mais en quinze jours j’ai éclusé un truman Capote , le ‘de sang froid’ que j’ai pris pour un polar jusqu’à la fin.
Un Duras, un Delerm, deux Mac Orlan qui avec son histoire d’équipage va rejoindre mes écrivains préférés.
Et pour finir un chanteur de mon enfance, le Mac Neil, que j’écoutais en boucle dans l’auberge de jeunesse de la chambre d’amour et qui s’avère un écrivain résistant au RER B.
Avec son Angie ou les douze mesures d'un blues.

ha ! si il savait, je fredonne si souvent ‘Encore un petit baton d’acapulco gold’
tout ces kinbous pour moi c'est presque un exploit, je suis bien plus à l'aise avec la rapière
Donc, comment voulez vous que je trouve le temps de poster, remplir le frigo, promener ce satané Buck, laver les casseroles ,vider la poubelle , je n’ai pas la verve d’une princesse, ni de patience pour les fils...

Allez les blogueurs restez blogueurs, bises à tous , l’hiver va dech, dèche, déchirer.

je finirai bien sur la complainte du phoque, mais tout le monde la connais ;.)
Tiens, pendant qu’on est encore indéxé dernier merci à ceux qui m’ont linké ce mois ci

Princesse101
Arnaud Mouillard
Traqueur Stellaire
100 000 V

Bien sur, liste générée à partir des infos du  Jegounotron


10 octobre, 2012

La grille

la grille
ct’e grille ! j’en suis pas revenu. Je me suis arrêté, juste pour la photo.
Ventre gris ! j’étais pourtant grave ramasse.
ça s’aggrave donc.
Ce n’est pas Aulnay sous, pour une fois. c’est Pavillon sous.
ça reste en deux sous.
Comme abandonnée, rouillée, lourdée et même humiliée avec ces antivols pour vélo made in PRC.
Même le labrador semblait abattu. Il a dans le regard cette nostalgie d’octobre, ce vilain trait noir.
Quand même ! un tel chef d’oeuvre de ferronneries qui part à vau-l’eau.
Et bien cela fera une jolie lourde pour mon blog que je délaisse pas mal ces derniers temps.
Période taciturne avec un regard de clébard, ou peut être que j’ai compris, comme le suggérait  Mac Orlan que ‘Les mots ne sont pas choses anodines’.
Je me méfie de leur portée dans le vent d'automne. je met donc en panne et réduit la voilure.
les mots ne sont pas choses anodines
ha ha morbleu !
ça non