2012 : Unité à Babord
je
vous l’ai déjà dit , c’est pas un blog politique. Mais je me mêle,
quand même, un peu de la vie de la cité. j’ai vu passer cette initiative de blogueurs, pour une unité de tous les gens de Gauche au
premier tour dans la désignation d’un candidat.
mais ou va t on ! pensez vous que ces citoyens du net vont faire la Loi aux appareils politique ?
Et les jeunes une #frenchrevolution aussi ?
Bon je suis pas trop de gauche sociale et démocrate, je suis libre flibustier, mais justement je crains que la Marine ne la ramène.
Et
si jusqu’à ce jour les candidats à la présidence ne s’occupaient du Net
que pour leur campagne électorale , a écouter le notre de président ,je vois que les lignes sont entrain de changer pour cette élection.
pas question donc que je me la ramène pas.
je vous invite donc à faire comme moi tourner cette idée , voici le texte CTRL+C / CTRL+V
Lettre ouverte d’un électeur à tous ceux qui font de la politique à gauche
Pour
faire avancer l’unité à gauche, faites comme nous : copiez, collez et
personnalisez cette lettre ouverte, puis envoyez la vite aux
responsables politiques de gauche que vous connaissez. Et faites tourner
!
Le Kremlin-Bicêtre, mai 2011
Chers camarades,
Comme
disent les Chinois, il est des coups de massue qui rendent lucides : si
la gauche veut remporter l’élection présidentielle de 2012, elle devra
aller unie au combat dès le premier tour.
Imaginer
que tel ou tel candidat ou candidate évitera la dispersion des voix à
gauche entre vos différents partis, provoquera le réflexe d’un vote «
utile », est un pari dangereux, une illusion entretenue par des sondages
dont on connaît la volatilité… et la fiabilité.
Enterrer
Nicolas Sarkozy trop vite est tout aussi illusoire. C’est un redoutable
adversaire en campagne électorale, chacun le sait. C’est un des rares
domaines où sa compétence n’a pas encore été mise en doute.
Mais surtout, Marine Le Pen sera vraisemblablement au second tour, nul besoin de sondages pour le craindre.
L’élection
présidentielle de 2012 se gagnera donc au premier tour. Autrement dit,
celui des deux candidats, de gauche ou de droite, qui aura le plus
rassemblé son camp avant le scrutin présidentiel aura de fortes chances
de l’emporter, soit parce qu’il sera face à Marine Le Pen, scénario
hélas le plus probable, soit parce qu’il aura obtenu un score élevé au
premier tour et aura donc créé une dynamique suffisante pour gagner le
second.
C’est
le bête et implacable raisonnement arithmétique qu’impose notre scrutin
majoritaire à deux tours. On peut regretter qu’il en soit ainsi, qu’il
ne nous soit plus permis de faire un « choix de coeur » au premier tour.
Mais c’est comme ça.
Cette
réalité électorale doit conduire les politiques que vous êtes à agir en
conséquence, c’est à dire à vous battre pour que ce soit bien le
candidat de gauche qui rassemble le plus efficacement son camp dès le
premier tour, et non celui de droite, Nicolas Sarkozy.
Inutile
d’attendre le dernier moment pour bâcler un marchandage de
circonstance, purement politicien, ou le programme et les idées
passeront à la trappe. Inutile encore de compter sur un accord entre les
deux tours, vite fait bien fait, entre les partis de gauche au cas où
ce serait l’un des leurs qui accède au second tour. Dans le premier cas,
face à Le Pen, pourquoi le candidat s’embarrasserait-il d’une
négociation avec ses amis politiques alors qu’il est pratiquement
certain d’être élu ? Dans le second cas, face à Sarkozy, redoutable
candidat, le spectacle de chefs de partis de gauche se rabibochant
opportunément après une campagne qui les aura durement opposés sera d’un
effet déplorable et ne peut que favoriser le candidat de la droite.
Avez-vous
le droit d’envisager cette défaite ? N’avez-vous pas, au nom de la
confiance et des mandats que vous ont confié le peuple, des obligations,
dont celle de gagner pour mettre un terme à la politique désastreuse
menée par Nicolas Sarkozy ?
Chers
camarades, il est temps d’atterrir. D’arrêter d’avancer en ordre
dispersé, avec des candidatures tactiques, « providentielles » ou
fantaisistes. Bref, il est temps de prendre la mesure de cette nouvelle
donne électorale et d’en tirer les conséquences. Dès
que possible, vos partis doivent travailler ensemble à une plateforme
commune et à la désignation d’un candidat unique pour toute la gauche. Après tout, les primaires ont bien été imaginées pour cela, non ?
Rappelez-vous
: n’avaient-elles pas vocation, à l’origine, à sortir des logiques
partisanes en s’adressant à tous ceux qui « partagent les valeurs de la
gauche », qu’ils soient roses, verts ou rouges ? Imaginez la dimension
que prendraient ces primaires si elles mobilisaient tous les partis !
Elles donneraient un autre souffle à la campagne et un autre poids au
candidat ainsi désigné. Et avouons-le, elles seraient sûrement prises
beaucoup plus au sérieux qu’aujourd’hui.
Pour
vous, responsables politiques, ce ne sera pas facile de dépasser les
clivages et les rivalités d’appareils, on l’imagine. Certains d’entre
vous ne souhaiteront peut-être pas monter dans le train de l’unité. Mais
l’enjeu est à la hauteur de l’effort : pour que la gauche remporte ce
scrutin présidentiel, l’unité et les concessions qu’elle implique, sont
le prix à payer et, soyons plus positifs, le défi à relever.
D’ailleurs
pensez-vous sérieusement qu’un programme qui rassemble tous les partis
de gauche soit un défi aussi insurmontable ? Nous partageons tous un
socle de valeurs communes : écologie, services publics, société
solidaire, emploi pour tous, fiscalité redistributive, laïcité,
régulation de la finance, éducation, innovation, recherche, et bien sûr,
l’ambition d’une France forte, généreuse et influente sur la scène
mondiale.
Chers
camarades, quelle tâche plus stimulante qu’un programme unitaire pour
ceux qui aiment la politique et veulent changer les choses ! Ce n’est
pas une utopie, c’est une nécessité. Les électeurs le sentent et
multiplient les appels dans la presse et sur le Net. Nous sommes à un an
de l’échéance, vous avez encore le temps de vous y mettre. N’attendez
pas.
Un programme, un candidat… la victoire en 2012 !
Pour
faire avancer l’unité à gauche, faites comme nous : copiez, collez et
personnalisez cette lettre ouverte, puis envoyez la vite aux
responsables politiques de gauche que vous connaissez (députés, maires,
sénateurs, responsables de parti, etc). N’hésitez pas à nous envoyer
leur réponse. Vous pouvez pour commencer retrouver les mails de vos
députés en cliquant ici. Et faites tourner !
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Allez y causez !
Avec le renouveau des trolls qui se la racontent, je modère systématiquement, normal ,je suis seul maitre à bord.
Donc ceux qui ne savent pas se tenir vont à la planche direct..
POST-SCRIPTUM : "toutes les fautes d'orthographe ou erreurs de conjugaison sont totalement indépendantes de notre volonté"