Les derniers jours de septembre sont souvent des sérieux coups de bambou d’un été trop vite passé.
Surtout ce dimanche après midi ou il vase des cordes .
Vu ce qu’il déhotte impossible de travailler dehors. les pommes attendront.
Faut déjà rentrer les premières buches pour déjà réchauffer la carré.
la télé ? , non j’ai décidé de ranger une malle de ma cambuse
Par hasard je suis tombé sur ces deux cartes postales d’un été d’hier.
Alors je vous les passe , la .
ha ! ha ! sans polémiques hein !.
c’est une vue d’Aulnay sous disparue. comme celle que l’on voit dans les dernière page du journal de communication municipal.
Sion - l'océan d’abord plus connue sous le nom de saint hilaire,
je ne résiste pas : , premier plan bureau du directeur (ou les sages comme moi faisaient le piquet) et au fond l'infirmerie .
puis Villers
A l’arrière saison , pour certains ce n’est pas le dernier été qui manque.
De biens bons souvenirs pour moi aussi.
RépondreSupprimerJe ne peux m'empêcher de penser à ceux qui dilapidé cela pour quelques espèces sonnantes et trébuchantes.
Oui ,tout à fait. D’ailleurs avec cette carte postale je me rappelle de toutes ces dunes de sables et cette forêt de pins courant jusqu’a la plage et je me dis que l’argument que l’on me rétorque souvent comme quoi les vacances ont changées est carrément a se tordre de rire par terre , il est évident que de nos jours plus personne ne voudrait passer des vacances dans un lieu pareil.
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